Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les enfants vaccinés, selon une nouvelle étude publiée dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health. L’étude — “Incidence relative des visites au cabinet et taux cumulatifs de diagnostics facturés le long de l’axe du calendrier vaccinal” — signée par James Lyons-Weiler, Ph.D. et Paul Thomas, MD,a été menée auprès de 3 300 patients du cabinet de pédiatrie de l’Oregon du Dr Thomas, Integrative Pediatric.

Cette étude s’ajoute à une liste croissante d’articles publiés après validation par comité de lecture(Mawson, 2017; Hooker et Miller, 2020) qui comparent la santé des enfants vaccinés à celle des enfants non vaccinés. Ces études suggèrent que nous avons longtemps sous-estimé la portée des méfaits des vaccins, et que l’épidémie de maladies chroniques chez les enfants n’est guère un mystère.

L’étude que le CDC a refusé de faire

Depuis 1986, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont légalement tenus de mener des études de sécurité et de publier tous les deux ans un rapport d’innocuité sur les vaccinations des enfants. En 2018, il a été déterminé qu’ils ne l’avaient jamais fait. Il incombe donc aux groupes non gouvernementaux de faire le travail que le CDC refuse de faire.

En tant que principale organisation gouvernementale qui promeut la vaccination chez les Américains, le CDC refuse de s’auto-incriminer dans l’épidémie de maladies chroniques infantiles. C’est un cas classique du renard gardant le poulailler. Ils sont complices de la création d’un vide de preuves afin d’agir délibérément contre la possibilité que le public se retourne contre la vaccination.

Puisque l’étude Lyons-Weiler et Thomas démontre que les enfants vaccinés souffrent davantage de maladies chroniques et sont également plus susceptibles d’avoir des infections respiratoires, ceux qui minimisent les risques de vaccin s’embarqueront dans une nouvelle série de machinations apoplectiques pour tenter d’invalider les résultats.

Malgré la rigueur avec laquelle cette étude a été menée, attendez-vous à ce que les critiques fassent tout sauf citer les études qui contredisent cette étude. Ils ne le peuvent pas. Ces études n’ont tout simplement pas été faites. Au lieu de cela, attendez-vous à ce que les critiques utilisent les arguments déjà rabachés pour attirer l’attention loin de ces résultats scientifiques en dirigeant des attaques ad hominem sur les auteurs, critiquant la revue où ils ont été publiés, et affirmant que la conception de l’étude n’était pas solide.

Lorsque la recherche met en évidence des anomalies qui s’écartent d’un paradigme scientifique dominant, il est important de se rappeler que le terrain de jeu de la science n’est pas constitué par une preuve, mais par l’accumulation de données qui renforcent un paradigme émergent. L’étude Lyons-Weiler et Thomas renforce ce paradigme émergent selon lequel les vaccins peuvent causer plus de tort qu’ils n’avaient été documenté et caractérisé auparavant.

Un cabinet pédiatrique parfait pour étudier les effet sur la santé en fonction des différents taux de vaccination

La pratique pédiatrique de Thomas suit le Plan vaccinal approuvé par le Dr Paul,qui permet un consentement pleinement éclairé et la prise de décisions parentales dans les choix de vaccination de leurs enfants. Le plan a été élaboré pour réduire l’exposition aux vaccins contenant de l’aluminium et pour permettre aux parents d’arrêter ou de retarder la vaccination si certains signes révélateurs de dommages vaccinaux commençaient à apparaître. Des affections comme les allergies, l’eczéma, le retard de développement ou les maladies auto-immunes sont des signes typiques que le système immunitaire d’un enfant ne réagit pas aux vaccins normalement.

Ces affections servent d’indicateurs précoces pour aider le parent et le pédiatre à envisager de ralentir ou d’arrêter la vaccination. En tant que telle, la patientelle du Dr Thomas est un mélange incroyable d’enfants qui va d’entièrement vaccinés, à partiellement vaccinés, à non vaccinés, ce qui en fait la patientelle pédiatrique parfaite pour tenter d’obtenir un éclairage sur les effets secondaires des vaccinations.

Résultats de l’étude basés sur l’incidence relative des visites au cabinet

L’étude Lyons-Weiler et Thomas a été menée sur les dossiers de patients pédiatriques couvrant 10 ans de pratique du Dr Thomas dans l’Oregon. Au lieu d’utiliser des rapports de cotes des diagnostics dans les deux groupes, les auteurs ont constaté que l’incidence relative de visites au cabinet était plus puissante. Même après avoir réalisé des contrôles en fonction de l’exposition aux soins de santé, de l’âge, des antécédents familiaux d’auto-immunité et du sexe, les associations des vaccinations à de nombreuses évolutions médiocres en matière de santé étaient solides.

Les enfants non vaccinés ont moins de fièvre, demandent 25 fois moins de soins pédiatriques en dehors des visites systématiques où l’enfant se porte bien

L’étude a révélé que les enfants vaccinés dans l’étude voient le médecin plus souvent que les enfants non vaccinés. Le CDC recommande 70 doses de 16 vaccins avant qu’un enfant n’atteigne l’âge de 18 ans. Plus un enfant reçoit de vaccins dans l’étude, plus il est probable que l’enfant se présente avec de la fièvre lors d’une visite au cabinet.

L’étude avait des données uniques qui ont permis aux chercheurs d’étudier les comportements de recherche de soins de santé. Contrairement à l’augmentation de la fièvre, qui accompagne une augmentation de la prise vaccinale, qui est acceptée comme ayant une relation causale avec la vaccination, l’augmentation de l’acceptation du vaccin ne s’est pas accompagnée d’une augmentation importante des visites d’enfants bien portants. En fait, peu importe le nombre de vaccins que les parents ont décidé que leurs enfants auraient, le nombre de visites d’enfants bien portants était à peu près le même.

Toute inquiètude que les enfants non vaccinés ou moins vaccinés éviteraient de consulter le médecin n’est pas fondée, et met en perspective l’enorme différence dans les visites au cabinet — en dehors des visites chez les enfants bien-portants, les enfants qui ont reçu 90 à 95 % des vaccins recommandés par le CDC pour leur groupe d’âge étaient environ 25 fois plus susceptibles que le groupe non vacciné de consulter le pédiatre pour un rendez-vous lié à la fièvre.

Comparativement à leurs homologues non vaccinés, les enfants vaccinés dans l’étude étaient trois à six fois plus susceptibles de se présenter au cabinet du pédiatre pour un traitement lié à l’anémie, à l’asthme, aux allergies et à la sinusite. Les tableaux frappants ci-dessous montrent des visites cumulatives au cabinet, spécifiques à l’âge, pour diverses affections parmi les personnes entièrement vaccinées par rapport aux personnes non vaccinées.

Pas de TDAH chez les non vaccinés

Dans une conclusion étonnante qui secouera sans doute la communauté psychiatrique, pas un seul enfant non vacciné dans l’étude n’a été diagnostiqué avec le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) tandis que 0,063% du groupe vacciné ont été diagnostiqués avec le TDAH. Probablement en raison du plan favorisant la vaccination après prise de décision dans le cadre du colloque singulier parent-médecin en vigueur dans la pratique du Dr Thomas, les taux globaux de TDAH et d’autisme dans la patientelle étaient environ la moitié des taux retrouvés dans la population générale d’enfants américains.

Faibles niveaux de varicelle et de coqueluche chez les personnes vaccinées et non vaccinées

En ce qui concerne la question de savoir si les vaccins préviennent ou non les infections qu’ils sont destinés à prévenir, 0,25 pour cent des vaccinés ont reçu un diagnostic de varicelle ou de coqueluche, tandis que 0,5 pour cent des non vaccinés ont reçu un diagnostic de varicelle, de coqueluche ou de rotavirus.

Fait significatif, il n’y a eu aucun cas de rougeole, d’oreillons, de rubéole, de tétanos, d’hépatite ou d’autres infections ciblées par les vaccins chez les personnes vaccinées ou non vaccinées, pendant toute la période d’étude de 10,5 ans.

Les vaccinés sont 70% plus susceptibles d’avoir une infection respiratoire

Les vaccinations semblent rendre les receveurs plus généralement sensibles aux infections, c’est donc ironique, mais pas surprenant, que les enfants vaccinés dans l’étude se soient présentés au cabinet du médecin pour les infections respiratoires 70% plus souvent que les non vaccinés. Cette découverte est probablement la raison pour laquelle les enfants vaccinés consultent le pédiatre si souvent avec de la fièvre. Votre grand-mère avait raison quand elle demandait pourquoi les enfants de nos jours semblent être malades tout le temps, malgré la vaccination lourde.

Antécédents familiaux d’auto-immunité corrélés avec les infections de l’oreille et les affections allergiques

Le Dr Yehuda Shoenfeld et d’autres ont décrit une maladie appelée syndrome auto-immun induit par les adjuvants (SAIA), où la génétique et les antécédents familiaux d’autoimmunité semblent prédisposer les patients vaccinés à des risques plus élevés de développer une maladie auto-immune. Dans cet esprit, les auteurs ont comparé les dossiers des patients de ceux qui ont des antécédents familiaux de maladies auto-immunes – comme la sclérose en plaques, le diabète de type I ou la thyroïdite de Hashimoto – à des patients dont les familles n’ont pas l’auto-immunité. Les résultats ont été frappants. La vaccination chez les enfants aux antécédents d’auto-immunité dans leur famille semblait augmenter le risque d’infection de l’oreille, d’asthme, d’allergies et d’éruptions cutanées par rapport aux non vaccinés ayant des antécédents familiaux d’auto-immunité.

Des études antérieures ont utilisé une statistique plus faible

Les lecteurs de l’étude en apprendront davantage sur les lacunes des études antérieures sur l’innocuité des vaccins, comme le biais de sur-ajustement, dans lequel les données sont analysées à maintes reprises à la recherche de la bonne combinaison de variables pour faire disparaître les associations de résultats néfastes pour la santé avec les vaccins. L’une des conclusions les plus importantes de cette étude est que la comparaison du nombre de visites au cabinet liées à des problèmes de santé spécifiques est un outil beaucoup plus précis que le simple fait d’utiliser l’incidence des diagnostics. En fait, les auteurs de l’étude le montrent par simulation — et ils soulignent que les études qui utilisent des rapports de cotes avec l’incidence de diagnostic utilisent une version de faible puissance de la méthode introduite par leur étude, l’incidence relative des visites au cabinet, parce que les patients ayant un “diagnostic” ont au moins une visite au cabinet, facturée, liée au diagnostic. Les auteurs concluent que les futures études sur l’innocuité des vaccins devraient éviter d’utiliser des mesures faibles telles que les rapports de cotes d’incidence du diagnostic.

Conclusion

Étant donné que l’étude a révélé que les comportements de recherche de soins de santé ne pouvaient pas expliquer les taux de vaccination, la seule explication restante des raisons pour lesquelles les patients vaccinés ont besoin de plus de soins de santé pour les symptômes d’une maladie chronique associée à la vaccination est que les vaccins ne sont pas seulement associés à des effets néfastes sur la santé — ils sont également associés à des effets néfastes plus graves et chroniques sur la santé. Rappelons que 54% des enfants et des jeunes adultes aux États-Unis ont des maladies chroniques qui conduisent à des prescriptions pharmaceutiques à vie, il semble que beaucoup de douleur humaine et de souffrance pourrait être réduite en adhérant à un choix éclairé concernant les risques réels de la vaccination, et en tenant compte des signes de sensibilité vaccinale. Bien que les auteurs demandent que davantage d’études soient menées à l’aide d’une méthodologie similaire, cette étude devrait certainement amener les pédiatres à faire une pause et se demander s’ils ne contribuent pas à un état maladif chronique, à vie, chez certains de leurs patients.