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octobre 27, 2020

Le programme mondialiste de vaccination de Gates : un gagnant-gagnant pour l’industrie pharmaceutique et la vaccination obligatoire

Par Robert F. Kennedy Jr., Président, Children’s Health Defense

Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui lui sert à alimenter ses nombreuses sociétés liées aux vaccins (y compris Microsoft qui a pour ambition de contrôler une entreprise mondiale d’identification de la vaccination)et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale.

L’obsession de Gates pour les vaccins semble nourrie par la conviction de sauver le monde grâce à la technologie.

En promettant sa participation de 450 millions de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates prit le contrôle du Groupe Technique Consultatif National sur la Vaccination en Inde (NTAGI), qui imposa, par le biais de cumul de programmes de vaccination, jusqu’à 50 doses (tableau 1) de vaccins contre la polio pour les enfants de moins de cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne de vaccination de Gates d’être la cause d’une épidémie dévastatrice de paralysie flasque aiguë non-polio (NPAFP) qui paralysa 490 000 enfants entre 2000 et 2017, chiffre bien supérieur aux taux attendus. En 2017, le gouvernement indien a abandonné le régime vaccinal de Gates et a demandé à Gates et à ses politiques vaccinales de quitter l’Inde. Les taux de NPAFP ont chuté précipitamment.

Les épidémies les plus [polio] effrayantes au Congo, en Afghanistan et aux Philippines sont toutes liées aux vaccins.

En 2017, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la poliomyélite provenait principalement d’une souche vaccinale. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, en Afghanistanet aux Philippines sont toutes liées aux vaccins. En 2018, 70 % des cas mondiaux de poliomyélite provenaient de souches vaccinales.

En 2009, la Fondation Gates finança des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, mis au point par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces reculées d’Inde. Environ 1 200 d’entre elles ont souffert d’effets secondaires graves,y compris des troubles auto-immuns et de fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes menées par le gouvernement indien ont accusé les équipes de chercheurs financées par Gates de commettre des violations éthiques généralisées: pression sur des jeunes filles vulnérables pour qu’elles acceptent de faire partie de l’expérimentation, intimidation des parents, falsification de formulaires de consentement, et refus de soins médicaux aux jeunes filles blessées suite aux tests. L’affaire est désormais devant la Cour Suprême du pays.

Les journaux sud-africains dénoncèrent : « Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments. »

En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase 3 du vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant de graves effets indésirables, y compris paralysie, convulsions et convulsions fébriles, chez 1 048 des 5 949 enfants.

Lors de la campagne MenAfriVac de 2002 menée par Gates en Afrique subsaharienne, les agents de Gates vaccinèrent de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Dans le village de Gouro, situé dans le nord du Tchad, environ 50 des 500 enfants vaccinés ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains dénoncèrent : «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments.» L’ancien économiste en chef de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme étant «cruelles et immorales».

En 2010, lorsque Gates investit 10 milliards de dollars dans l’OMS, il déclara : « Nous devons faire de cette décennie la décennie des vaccins. » Un mois plus tard, Gates déclarait dans un TED Talk que les nouveaux vaccins « pourraient réduire la population. » Et, quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya accusèrent l’OMS de stériliser chimiquement des millions de femmes kenyanes contre leur gré à l’aide d’une fausse campagne de vaccination contre le “tétanos”. Des laboratoires indépendants trouvèrent une formule de stérilité dans tous les vaccins testés. Après avoir nié ces accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contraceptifs depuis plus d’une décennie. Des accusations similaires ont été portées en Tanzanie, au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines.

Une étude réalisée en 2017 (Morgenson et al., 2017) a montré que le populaire vaccin DTP de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il prévient. Les filles vaccinées par le DTP souffrèrent d’un taux de mortalité 10 fois supérieur par rapport aux enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de retirer le vaccin mortel qu’elle impose à des dizaines de millions d’enfants africains chaque année.

[Global public health officials] Gates a détourné les ressources de l’OMS pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé n’est possible qu’à l’aide d’une seringue.

Les défenseurs de la santé publique du monde entier accusent Gates d’éloigner le programme de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour freiner les maladies infectieuses : eau potable, hygiène, nutrition et développement économique. La Fondation Gates ne consacre qu’environ 650 millions de dollars de son budget de 5 milliards de dollars à ces domaines clés. Ils dévoilent qu’il a détourné les ressources de l’OMS pour servir sa philosophie personnelle selon laquelle une bonne santé n’est possible qu’à l’aide d’une seringue.

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait don de 50 millions de dollars à 12 autres sociétés pharmaceutiques dans le but d’accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Dans ses récentes apparitions médiatiques, Gates semble confiant que la crise du Covid-19 lui donne l’opportunité de forcer sa politique dictatoriale de vacination obligatoire sur tous les enfants américains – ainsi que sur les adultes.

 

 

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