L’histoire en un coup d’œil

  • Après des années passées à se bâtir une réputation de “monopoliseur impitoyable de la technologie”, Bill Gates 2.0 a été lancé avec la création de la Fondation Bill & Melinda Gates. Avec cette fondation, il s’est réinventé et s’est fait connaître comme l’un des philanthropes les plus généreux du monde.
  • Cependant, la forme de philanthropie de Gates crée plusieurs nouveaux problèmes pour chacun de ceux qu’elle résout et serait mieux décrite avec le terme de “philanthrocapitalisme“.
  • Aujourd’hui, Gates monopolise ou exerce une influence disproportionnée sur l’industrie technologique, la santé mondiale et les vaccins, l’agriculture et la politique alimentaire (y compris la biopiraterie et les faux aliments), la modification du temps et autres technologies climatiques, la surveillance, l’éducation et les médias.
  • Selon M. Gates, les vaccins génèrent des profits phénoménaux, avec un retour sur investissement supérieur à 20/1.
  • Gates promeut maintenant le plan technocratique du Big Reset, “réinitialisation”, qui comprend un programme agressif de lutte contre le changement climatique. Pourtant, les nombreux déplacements de Gates en jet privé font de lui l’un des pires pollueurs.

“Bill Gates – On ne vous a pas tout dit “, un volet du documentaire Plandemic, passe en revue le parcours personnel et professionnel du magnat de Microsoft, Bill Gates. Contrairement au mythe populaire répandu, beaucoup voient en Gates un opportuniste plutôt qu’un inventeur de génie, et la vidéo aborde plusieurs des moments les moins honorables de sa carrière.

Après des années passées à se bâtir une réputation de “monopoliseur impitoyable de la technologie”, Bill Gates 2.0 a été vraiment lancé avec la création de la Fondation Bill & Melinda Gates. Avec cette fondation, il s’est réinventé et s’est fait connaître comme l’un des philanthropes les plus généreux du monde.

La charité de Gates n’est pourtant pas celle qu’il y parait.

Hélas, comme l’ont noté AGRA Watch, Shiva Vandana, Ph.D., et bien d’autres, la philanthropie de Gates crée plusieurs nouveaux problèmes pour chaque problème qu’elle résout, et le terme qui convient le mieux pour la décrire serait celui de “philanthrocapitalisme“. Comme indiqué dans l’article d‘AGRA Watch, ” Philanthrocapitalisme : Les programmes africains de la Fondation Gates n’ont rien à voir avec de la vraie charité “, publié en 2017, les partisans du philanthrocapitalisme :

“… attendent souvent des retours sur investissement ou des bénéfices secondaires à long terme de leurs investissements dans les programmes sociaux. La philanthropie constitue alors un élément supplémentaire du dispositif de profit et de contrôle des sociétés. La stratégie de ‘développement’ de la Fondation Gates favorise en fait les politiques économiques néolibérales et la mondialisation des corporations.”

En effet, au fil des ans, Gates s’est retrouvé dans une position où il monopolise ou exerce une influence disproportionnée non seulement sur l’industrie technologique, mais aussi sur la santé mondiale et les vaccins, l’agriculture et la politique alimentaire (y compris la biopiraterie et les faux aliments), la modification du temps et autres technologies climatiques, la surveillance, l’éducation et les médias.

Il n’est pas surprenant qu’il soit également étroitement lié à des organisations de “fact checkers”, de vérification des faits en ligne, qui étranglent la liberté d’expression, et il a récemment déclaré à “60 Minutes” que pour combattre la méfiance à l’égard de la science, nous devrions trouver des moyens de “ralentir les trucs fous”. Cependant, ce qui est “fou” et ce qui ne l’est pas est rarement aussi clair que les grands médias voudraient le faire croire.

Et, comme tout véritable philanthrocapitaliste qui se respecte, la générosité de Gates finit par profiter.. à Bill Gates avant tout. Comme nous l’avons vu dans “Bill Gates – le philanthrope le plus dangereux de l’histoire moderne”, la Fondation Bill et Melinda Gates donne des milliards de dollars aux entreprises et industries dans lesquelles elle détient des actions et des obligations.

Comme le révèle Gates lui-même dans la vidéo, il a bien compris que les vaccins sont des sources de profit phénoménales, affirmant qu’il s’agit du meilleur investissement qu’il ait jamais fait, avec un retour sur investissement supérieur à 20 pour 1. Le seul stratagème qui lui permet cela, c’est lagarantie de non-responsabilité accordée par le gouvernement aux fabricants de vaccins.

Gates, le tsar du climat mondial

Comme le mentionne la vidéo, Gates finance une initiative visant à détourner les rayons solaires de la surface de la Terre afin de lutter contre le réchauffement climatique – une approche pour le moins irrationnelle, compte tenu du potentiel de dévastation de l’agriculture mondiale.

Dans son dernier livre, il détaille également ses recommandations en matière de changement climatique, qui consistent notamment à inciter les gouvernements à soutenir les sociétés dans lesquelles il a investi et à réaliser d’autres tours de passe-passe similaires.

Par ailleurs, comme l’a noté The Nation, Gates lui-même est un sérieux pollueur, avec un manoir de 66 000 pieds carrés (plus d’un demi hectare), un jet privé, 242 000 acres de terres agricoles (ce qui fait de lui le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis) et des investissements dans des industries dépendantes des combustibles fossiles comme les compagnies aériennes, la machinerie lourde et les voitures.

“Selon une étude universitaire de 2019 portant sur les émissions de carbone extrêmement élevées de l’élite de la jet-set, les nombreux déplacements de Bill Gates en jet privé font probablement de lui l’un des principaux émetteurs de carbone au monde – un véritable super-émetteur”, comme l’a écritThe Nation.

“Dans la liste des 10 personnes célèbres analysées – dont Jennifer Lopez, Paris Hilton et Oprah Winfrey – Gates était la personne à l’origine de la majeure partie des émissions polluantes. Les personnes fortunées peuvent émettre plusieurs dizaines de milliers de fois la quantité de gaz à effet de serre imputée aux pauvres dans le monde”, note le document. Cela soulève la question de savoir si la défense du climat par des célébrités est vraiment opportune…”.

Gates dirige la prise de contrôle technocratique

L’intérêt de Gates pour le changement climatique est tout-à-fait dans sa logique si l’on sait qu’il fait partie de l’élite technocratique qui, depuis des décennies, s’efforce de faire main basse sur les ressources mondiales en prévision de la Grande Réinitialisation, précédemment connue sous le nom de Nouvel Ordre Mondial.

Au cours de l’année dernière, la nécessité d’une grande réinitialisation a été annoncée par les chefs de gouvernement du monde entier, le cri d’alarme étant que nous devons “réinitialiser” l’économie mondiale et tout notre mode de vie, notre façon de travailler, de voyager et de nous rencontrer, et ce afin de rendre le monde plus équitable et durable. S’attaquer au changement climatique sous la bannière d’une urgence mondiale fait partie intégrante de cette campagne de relations publiques.

Si vous avez prêté attention, vous avez probablement repéré les indices. Lors des premiers confinements au début de l’année 2020, une multitude d’articles ont été publiés sur la façon dont la nature et la faune se développaient en l’absence de contacts humains et de voyages. A d’autres moments, la pandémie de COVID-19 a été présentée comme un avertissement pour nous tous sur ce qui se produit quand on se déconnecte de la nature.

Pas de vraie nourriture pour vous

Gates ressent clairement le besoin de faire sa part pour réaliser le rêve technocratique. Il a déclaré à “60 Minutes” qu’il était impatient de voir ses différentes visions se concrétiser de son vivant, et il estime qu’il lui reste 20 ou 30 ans. Comme rapporté par ZeroHedge :

M. Gates préconise des changements radicaux et “fondamentaux” de l’économie afin de mettre immédiatement un terme à l’émission de gaz à effet de serre – principalement le dioxyde de carbone – et de “passer à zéro” afin de sauver la planète d’une catastrophe environnementale annoncée depuis longtemps (et constamment erronée). Les changements que nous devrons apporter pour réaliser la vision de Gates sont les suivants :

  • Consacrer 35 milliards de dollars par an à la recherche sur le climat et les énergies propres.
  • Tout est électrique.
  • La consommation généralisée de fausse viande, car les vaches représentent “4 % de tous les gaz à effet de serre”.
  • Rééquiper les industries de l’acier et du ciment, qui, selon M. Gates, sont responsables de 16 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone, afin d’injecter jusqu’à 30 % du CO2 capté dans le béton et de créer un type d’acier différent.
  • Adoption massive de l’énergie nucléaire de nouvelle génération pour compléter l’énergie éolienne et solaire.

Et comme la production de plantes pour fabriquer de la fausse viande émet également des gaz, Gates a financé une entreprise qui utilise des champignons pour fabriquer des saucisses et des yaourts, ce que le milliardaire qualifie de “plutôt étonnant”… “Le microbe a été découvert dans le sol, dans un geyser du parc national de Yellowstone. Sans sol ni engrais, il peut être cultivé pour produire cette protéine nutritionnelle – qui peut ensuite être transformée en toute une gamme d’aliments présentant une faible empreinte carbone.'”

En effet, M. Gates souhaiterait que les pays occidentaux riches passent entièrement au bœuf synthétique cultivé en laboratoire, et s’oppose aux tentatives législatives visant à garantir que les fausses viandes soient correctement étiquetées comme telles, car cela ralentirait l’acceptation par le grand public.

Gates prouve une fois de plus que le féodalisme est un système voué à l’échec

Grâce à sa propriété foncière, Gates est clairement en position de monopole (une fois de plus !) pour orienter l’agriculture et la production alimentaire dans la direction qu’il souhaite, et il veut que nous mangions tous autant de faux aliments que possible. Comme le souligne un article long et détaillé de The Defender sur les activités philanthrocapitalistes de Gates :

“Thomas Jefferson pensait que le succès de la lutte exemplaire de l’Amérique pour remplacer le joug du féodalisme européen par une noble expérience de gouvernance autonome dépendait du contrôle durable des terres de la nation par des dizaines de milliers d’agriculteurs indépendants, chacun ayant un engagement particulier dans notre démocratie.

“Ainsi, au mieux, la campagne de Gates visant à s’approprier les biens immobiliers agricoles américains est le signe que le féodalisme pourrait être de retour. Au pire, sa folie des grandeurs est le signe avant-coureur de quelque chose de bien plus alarmant : le contrôle de l’approvisionnement alimentaire mondial par un mégalomane assoiffé de pouvoir et animé du complexe de Napoléon.”

L’article détaille ensuite la “stratégie à long terme de Gates visant à maîtriser l’agriculture et la production alimentaire au niveau mondial”, qui a débuté par son soutien aux OGM en 1994. Depuis lors, les approches “philanthropiques” de M. Gates en matière de lutte contre la faim et de production alimentaire s’articulent autour de ses partenaires des secteurs technologique, chimique, pharmaceutique et pétrolier, ce qui lui permet de s’enrichir à chaque échec d’une opération de sauvetage.

“Comme pour l’entreprise de vaccins africains de Gates, il n’y a eu ni évaluation interne ni responsabilité publique”, écrit The Defender :

L’étude 2020 “Fausses promesses : L’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA)” est le bilan des 14 années d’efforts du cartel Gates.

“L’enquête conclut que le nombre d’Africains souffrant de faim extrême a augmenté de 30 % dans les 18 pays ciblés par Gates. La pauvreté rurale s’est métastasée de façon dramatique …

“Dans le cadre du système de plantation de Gates, les populations rurales d’Afrique sont devenues esclaves sur leurs propres terres d’un servage tyrannique d’intrants de haute technologie, de mécanisation, de calendriers rigides, de conditions pesantes, de crédits et de subventions… Les seules entités bénéficiant du programme de Gates sont les multinationales avec qui il est en partenariat ….

L’historique de ses investissements suggère que la crise climatique, pour Gates et ses acolytes, n’est rien de plus qu’un alibi pour un contrôle social intrusif, une surveillance à l’échelle de la “Grande Réinitialisation” et une gabegie de géo-ingénierie de science-fiction, y compris ses projets délirants et terrifiants de pulvérisation de la stratosphère avec du chlorure de calcium ou de l’eau de mer pour ralentir le réchauffement climatique, de déploiement de ballons géants pour saturer notre atmosphère de particules réfléchissantes afin de bloquer le soleil, ou son pari périlleux de lâcher des millions de moustiques génétiquement modifiés dans le sud de la Floride.

“Lorsque nous replaçons ces projets cauchemardesques dans le contexte de la batterie de vaccins expérimentaux qu’il impose chaque année à 161 millions d’enfants africains, il est assez clair que Gates nous considère tous comme ses rats de laboratoire.”

La Fondation Gates a lancé les politiques catastrophiques de COVID-19

Bien entendu, Gates a également joué un rôle de premier plan dans la stratégie mondiale de lutte contre la pandémie de COVID-19. Selon le journaliste d’investigation Jordan Schachtel qui a une chaîne sur Substack, Gates a joué un rôle prépondérant dans les “politiques de gestion du coronavirus caractérisées par une négligence criminelle” qui ont tué un nombre démesuré de personnes âgées dans des maisons de retraite de New York, de Californie, du New Jersey, de Pennsylvanie et du Michigan.

Schachtel souligne que le point commun de ces cas est qu’ils ont suivi les prévisions de modélisation terriblement inexactes de l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui est financé et contrôlé par la Fondation Bill et Melinda Gates. Il écrit:

“En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les “experts” en modélisation de l’IHME financé par Gates que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement submergés par des patients atteints de coronavirus.

“Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif ferait que les hôpitaux manqueraient de matériel de réanimation en l’espace de quelques jours, et non de semaines ou de mois. Le temps était donc compté, et il fallait maintenant prendre des décisions rapides, ont déclaré les modélisateurs.

“Lors de deux conférences de presse consécutives, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle IHME… Lors d’une réunion d’information tenue le 9 avril, Mme Gretchen Whitmer, gouverneur du Michigan, s’est référée au même modèle IHME pour prévoir le nombre de décès et les ressources en EPI nécessaires à la prétendue vague. Il en a été de même pour le gouvernement de Pennsylvanie.”

Les membres de la Task Force de la Maison Blanche, les docteurs Anthony Fauciet Deborah Birx, qui ont tous deux des liens étroits avec Gates, se sont également fiés aux modèles de prévision de l’IHME. Comme l’a souligné Schachtel :

“Ces modèles, et les décisions politiques qui ont été prises en s’appuyant sur eux, ont déclenché une chaîne d’événements qui ont conduit à des confinements indéfinis, à des fermetures complètes d’entreprises, à des couvre-feux à échelle nationale et, plus tristement, à l’arrêt de mort des personnes vivant en maison de retraite.”

Supprimez ce qui ne sert plus

La Fondation Gates a également co-parrainé l’événement 201, un exercice de simulation scénarisé qui s’est déroulé quelques mois seulement avant l’épidémie de COVID-19 et qui s’est avéré étonnamment prophétique.

Curieusement, dans une interviewaccordée à la BBC en avril 2020, Gates a nié que cette simulation ait eu lieu, déclarant : “Nous n’avons pas simulé cela, nous n’avons pas répété, donc tant au niveau des politiques de santé que des politiques économiques, nous nous trouvons en territoire inconnu.” Dans un article du National Herald India, Norbert Häring souligne l’oubli manifeste de M. Gates, en précisant :

“Il est vrai que si l’on avait accordé un peu moins d’importance à la manipulation de l’opinion, on aurait pu accorder plus d’attention à la santé et à la politique économique. Une des quatre réunions a été entièrement consacrée à ce sujet. Mais les politiques économiques et de santé ont été discutées. Gates peut difficilement l’avoir oublié.

“La vidéo sur le contrôle de l’opinion publique est la plus intéressante, car elle permet de mettre en perspective les efforts déployés à cet égard, que nous vivons actuellement. Un participant nous dit que Bill Gates finance des travaux sur des algorithmes qui passent au peigne fin les informations sur les plateformes de médias sociaux afin de s’assurer que les gens fassent confiance aux informations qu’ils y trouvent.”

Gates a également effacé d’autres preuves où la vérité revient le hanter. Un exemple concret : Les fact checkers, vérificateurs de faits financés par Gates ont démenti formellement et avec véhémence les affirmations selon lesquelles Gates aurait déclaré que nous allions avoir besoin de passeports vaccinaux numériques, faisant passer cela pour une énième théorie de conspiration délirante.

Mais Gates a bien dit cela lors d’une conférence TED en juin 2020. Quelqu’un a tout simplement supprimé cette déclaration précise de son discours après que la citation ait fait le tour des médias sociaux. Dans un article du 11 décembre 2020, The Defender a présenté la preuve.

Les vérificateurs de faits réfutent également les affirmations selon lesquelles les micropuces sous-cutanées ou les tatouages numériques seront un jour utilisés pour nous suivre et nous localiser. Pourtant, comme le note The Defender, M. Gates a chargé le MIT de développer un système de teinture à points quantiques injectables pour “tatouer” des données médicales sur votre corps, et il a breveté une technologie utilisant des biocapteurs implantés qui surveillent l’activité du corps et du cerveau et sont liés à un système de crypto-monnaie.

Il a également investi des dizaines de millions dans des micropuces dotées de systèmes d’administration de médicaments télécommandés, dans des entreprises du secteur militaire qui suivent et tracent les infections pandémiques et la conformité des vaccins, et a investi plus d’un milliard de dollars dans des satellites de vidéosurveillance et des antennes 5G. Quand vous mettez tous ces éléments ensemble, les plans de Gates commencent à prendre une allure plutôt sinistre.

Gates est la figure de proue la plus visible de la technocratie moderne.

Qu’elle ait été planifiée ou non, la pandémie de COVID-19est clairement utilisée pour introduire des changements très controversés qui sont indubitablement de nature totalitaire, notamment la prise de contrôle du gouvernement par le secteur privé au moyen de partenariats public-privé.

La surveillance est devenue la plus grande industrie à but lucratif de la planète, et toute votre existence est désormais ciblée à des fins lucratives. Parmi ceux qui en profiteront le plus, il y a Gates lui-même.

Pour mieux comprendre ce que vous sacrifiez en suivant le discours dominant selon lequel nous avons besoin des Big Tech pour nous sauver, lisez mon article sur la psychologue sociale et professeur à Harvard Shoshana Zuboff et son livre extraordinaire, “The Age of Surveillance Capitalism”.

Vous ne voudrez pas non plus rater mon entretien avec Patrick Wood, présenté dans “Les dangers imminents de la technocratie”. Il brosse un tableau qui peut être difficile à digérer, surtout si c’est la première fois que vous entendez parler de tout cela, mais il est essentiel que chacun commence à comprendre ce à quoi nous sommes confrontés.

Le temps presse. Pour avoir encore une chance de l’arrêter, nous devons comprendre notre parcours et nous unir pour changer la voie que Gates et d’autres du même calibre ont tracée pour nous.

Article publiépar Mercola.