Depuis que les vaccins COVID de Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson (J&J) ont reçu une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA, équivalent d’AMM conditionnelle, NdT), The Defender a suivi les blessures post-vaccinales signalées par les travailleurs de la santé et les personnes vaccinées au Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

Nous avons également couvert les rapports des médias faisant état de décès et de blessures chez des personnes récemment vaccinéesCOVID.

Les dernières données du VAERS montrent qu’entre le 14 décembre 2020 et le 30 avril, 157 277 événements indésirables tot aux ont été signalés au VAERS, dont 3 837 décès et 16 014 blessures graves suite à la vaccination avec les vaccins Pfizer, Moderna et J&J.

Selon le site web du CDC, “le CDC assure le suivi de tout rapport de décès pour demander des informations supplémentaires et en savoir plus sur ce qui s’est passé et pour déterminer si le décès est dû au vaccin ou non.”

Le 8 mars, The Defender a contacté le CDC avec une liste écrite de questions sur les décès et blessures signalés liés aux vaccins COVID. Nous avons demandé des informations sur la manière dont le CDC mène les enquêtes sur les décès signalés, le statut des enquêtes en cours sur les décès et les blessures signalés par les médias, si des autopsies étaient pratiquées, quelle est la norme permettant de déterminer si une blessure est liée de manière causale à un vaccin, et les initiatives d’éducation visant à encourager et à faciliter un signalement correct et précis.

Après plusieurs tentatives, par téléphone et par courriel, pour obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste de la communication en matière de santé du groupe d’étude sur les vaccins du CDC nous a contactés le 29 mars, soit trois semaines après notre demande initiale.

La personne a reçu notre demande d’information via le VAERS, mais a déclaré qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés auxquels nous avons parlé à plusieurs reprises ont dit que les attachés de presse du CDC travaillaient sur les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons à nouveau fourni la liste des questions ainsi qu’un nouveau délai, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

The Defender a également fait un suivi auprès du département des médias du CDC, qui nous a informé que l’unité chargée de la réponse au COVID serait informée que le spécialiste de la communication en matière de santé n’a jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à plusieurs reprises.

Nous avons demandé pourquoi le CDC, financé par les contribuables, semblait répondre à d’autres médias en temps opportun, mais n’a pas répondu au Defender. Aucune réponse n’a été fournie. On nous a dit que quelqu’un nous contacterait.

Cela fait 64 jours que nous avons envoyé notre premier courriel demandant des informations sur les données et les rapports VAERS, mais toujours pas de réponse.

Enquêtes des CDC sur les décès signalés

Depuis l’octroi de l’autorisation de mise sur le marché des vaccins expérimentaux COVID, les médias grand public ont fait état de nombreux décès consécutifs à l’administration des vaccins et ont indiqué dans ces rapports que les décès faisaient l’objet d’une enquête par le CDC.

Nous avons interrogé le CDC au sujet de plusieurs de ces enquêtes, pour savoir si des autopsies ont été pratiquées, connaître ce qui détermine si un vaccin cause ou contribue à un décès et où le public peut accéder aux conclusions des enquêtes.

Le 3 janvier, le département de la santé de Floride et les CDC ont annoncé qu’ ils menaient une enquête sur le décès du Dr Gregory Michael, décédé peu après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer. Le Dr Jerry L. Spivak, spécialiste des maladies du sang à l’Université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’il pensait qu’il s’agissait d’une “certitude médicale” que le vaccin de Pfizer avait causé la mort de Michael.

Le 8 avril, les médecins légistes ont établi que Michael était mort de complications liées au PTI [purpura thrombopénique immunologique, NdT] , mais ont officiellement classé la mort comme naturelle car, selon Darren Caprara, directeur du service des médecins légistes du comté de Miami-Dade, il n’y avait “aucune certitude médicale” que le vaccin avait causé la mort de Michael.

Le 4 février, les médias ont rapporté que les autorités fédérales et de l’État enquêtaient sur le décès d’une femme de 58 ans, Drene Keyes, en Virginie, qui a succombé à un choc anaphylactique quelques heures après avoir reçu la première dose du vaccin de Pfizer. Un article publié le 7 mars a révélé que les autorités sanitaires n’avaient pas pratiqué d’autopsie sur Keyes, laissant la famille se débrouiller seule pour en obtenir une.

Le commissaire à la santé de l’État de Virginie, Norman Oliver, a indiqué aux agents d’information publique, dans un courriel daté du 5 février, que si les journalistes demandaient si une autopsie avait été pratiquée, ils devaient répondre qu'”une autopsie complète n’était pas nécessaire pour déterminer si le décès était lié à la vaccination”.

L’e-mail d’Oliver a été obtenu suite à une demande d’accès aux archives publiques qui a révélé que les responsables à l’intérieur et à l’extérieur du département de la santé craignaient que la mort de Keyes, qui est noir, n’aggrave l’hésitation à se faire vacciner parmi les minorités.

Le 5 février, une femme de 39 ans d’Ogden, dans l’Utah, est décédée quatre jours après avoir reçu une deuxième dose du vaccin Moderna. Kassidi Kurill est morte d’une défaillance d’organe après que son foie, son cœur et ses reins se soient arrêtés. Elle n’avait pas de problèmes médicaux connus ou de conditions préexistantes, selon sa famille. Les médias ont indiqué que le décès de Kurill avait été signalé au VAERS.

Sous-déclaration au VAERS

The Defender a demandé au CDC s’il existait un mécanisme permettant de confirmer si les prestataires de soins de santé font des déclarations au VAERS, ou si l’agence a mis en place des programmes d’éducation pour améliorer le taux et la qualité des déclarations.

Selon le site web du CDC et les documents d’approbation de l’AMM de la Food and Drug Administration américaine, les prestataires de soins de santé sont tenus par la loi de signaler certains événements indésirables au VAERS.

Pourtant, selon une enquête publiée en 2013 dans la revue “Vaccine”, 37 % des prestataires de soins de santé avaient identifié un événement indésirable à la suite d’une vaccination, mais seulement 17 % d’entre eux ont indiqué avoir déjà fait une déclaration au VAERS. Les facteurs associés au fait que les prestataires de soins de santé ne signalent pas les cas sont les suivants : la méconnaissance de la façon de remplir un rapport VAERS sur papier, le type d’exercice médical et le fait que le prestataire ne connaisse pas ou très peu les exigences relatives à la soumission d’un rapport VAERS.

Fermeture de la campagne de vaccination contre le H1N1 après moins de 50 décès

En mars 1976, le gouvernement fédéral a commercialisé à la hâte le vaccin contre le H1N1, après que des centaines de soldats de Fort Dix, dans le New Jersey, eurent contracté la nouvelle souche virale. Sur les 45 millions de personnes qui ont reçu le vaccin, 450 ont développé le syndrome de Guillain-Barré et parmi elles, plus de 30 sont décédées.

Quelques mois plus tard – en décembre 1976 – le gouvernement suspendait la campagne de vaccination de masse contre le virus H1N1, après que l’Académie nationale de médecine eut conclu que les personnes ayant reçu le vaccin couraient un risque accru de développer le syndrome de Guillain-Barré.

The Defender a demandé au CDC combien de décès, en pourcentage du nombre total d’administrations d’un vaccin, il faudrait pour que la FDA retire ce vaccin du marché.

Les CDC affirment que le VAERS n’indique aucun problème de sécurité avec les vaccins.

Le site Internet du CDC indique: “À ce jour, le VAERS n’a pas détecté de tendances dans la cause des décès qui pourraient indiquer un problème de sécurité avec les vaccins COVID-19.”

Pourtant, sur son site web, l’agence reconnaît 4 178 décès signalés chez des personnes ayant reçu un vaccin COVID entre le 14 décembre 2020 et le 3 mai, et a déterminé que “l’examen des informations cliniques disponibles, y compris les certificats de décès, l’autopsie et les dossiers médicaux, n’a révélé aucune preuve que la vaccination ait contribué aux décès des patients.”

Nous avons demandé comment le CDC était arrivé à cette conclusion, où le public pouvait accéder aux informations concernant les autopsies, ce qui serait nécessaire pour confirmer qu’un vaccin était la cause du décès et s’il existe une option permettant d’indiquer le vaccin comme cause du décès sur un formulaire d’autopsie.

Rapports de caillots sanguins avec des vaccins à ARNm

Nous avons récemment complété nos questions par les chiffres les plus récents du VAERS sur les blessures causées par les vaccins, car il est de plus en plus évident que les vaccins Pfizer et Moderna provoquent des troubles rares de la coagulation sanguine similaires à ceux signalés après l’administration des vaccins AstraZeneca et J&J.

Comme l’a rapporté The Defender le 30 avril, le VAERS a produit un total de 2 808 rapports associés à la formation de troubles de la coagulation pour les trois vaccins du 14 décembre 2020 au 30 avril.

Sur les 2 808 cas signalés, 1 043 rapports ont été attribués à Pfizer, 893 rapports à Moderna et 860 rapports à J&J. Les autorités sanitaires américaines n’ont reconnu que 15 cas de caillots sanguins associés au vaccin J&J lors de la réunion du 16 avril, au cours de laquelle a été votée la levée de la suspension du vaccin et la reprise de son utilisation sans restrictions.

Le CDC réduit le seuil de Ct pour le test COVID

Au 26 avril 2021, plus de 9 245 cas de COVID avaient été signalés chez les personnes entièrement vaccinées, ce que l’on appelle des “cas d’échappement“. Les CDC ont récemment recommandé de réduire la valeur Ct de la RT-PCR à 28 cycles lors du dépistage du COVID chez les personnes entièrement vaccinées.

Le seuil inférieur entraînerait une diminution des cas d’échappement, remettant en cause les données d’efficacité du vaccin COVID.

Le Dr Fauci recommande une valeur Ct de 35. Au niveau mondial, le seuil accepté pour la valeur Ct du COVID se situe entre 35 et 40, selon les instructions des fabricants d’équipements de test.

Selon le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR), un patient est considéré comme positif pour le COVID si la valeur Ct est inférieure à 35. En d’autres termes, si le virus est détectable à 35 cycles ou avant, le patient est considéré comme positif.

“Si le seuil était abaissé à 24, cela signifierait que les valeurs de Ct comprises entre 25 et 34 ne seraient pas considérées comme positives. Un seuil de 35 signifie donc qu’un plus grand nombre de patients seraient considérés comme positifs que si le repère était de 24.”

Nous avons demandé au CDC d’expliquer pourquoi il a changé les recommandations pour le test COVID chez les patients vaccinés, l’impact que cela aura sur les rapports des cas de COVID par échappement et pourquoi l’agence n’applique pas une seule norme de test RT-PCR pour les tests, indépendamment du statut vaccinal.

Les CDC cessent de compter tous les cas d’échappement

Les responsables fédéraux de la santé ont décidé ce mois-ci de limiter la manière dont ils surveillent les personnes vaccinées infectées par le COVID, suscitant l’inquiétude de certains scientifiques qui ont déclaré que les données manquantes pourraient entraver la capacité des scientifiques à enquêter sur le pourquoi et le comment des cas d’échappement, rapporte Bloomberg.

Chaque vendredi, les CDC publient sur leur site web le nombre de cas d’échappement chez les personnes entièrement vaccinées. Le 7 mai, les CDC ont annoncé qu’ ils passeraient à la déclaration des seuls patients atteints d’une infection par échappement par le COVID qui ont été hospitalisés ou sont décédés afin de “contribuer à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas ayant la plus grande importance clinique et de santé publique”.

Le changement dans la déclaration, qui entre en vigueur le 14 mai, réduira le nombre de cas d’échappement signalés.

Selon Bloomberg, le suivi et le séquençage des cas permettent de déterminer qui est le plus à risque, si de nouveaux variants échappent aux vaccins et à quel moment la protection conférée par les injections commence à diminuer. Les personnes infectées – dont certaines souffrent de problèmes médicaux importants, même si elles ne sont pas hospitalisées – disent se sentir perdues en raison du manque d’informations.

“Nous ne devrions pas restreindre notre champ d’action, nous devrions l’élargir et élaborer un plan systématique”, a déclaré Eric Topol, directeur du Scripps Research Translational Institute à La Jolla, en Californie.

Tom Clark, chef de l’unité d’évaluation des vaccins pour le groupe de travail sur les vaccins du CDC, a déclaré que le CDC maximise la qualité des données recueillies sur les cas, et que l’agence a changé de stratégie parce qu’il y a peu de tendances inquiétantes dans les données recueillies jusqu’à présent, ce qui suggère que l’accent devrait être mis sur les cas les plus graves.

Cependant, Michael Kinch, vice-chancelier associé de l’université de Washington à St. Louis, a déclaré qu’ il fallait enregistrer le plus d’informations possible sur les échappements. Les cas qui n’entraînent pas d’hospitalisation sont tout de même importants à suivre, a déclaré M. Kinch, car les symptômes qui ne sont pas aussi graves pour une personne peuvent éventuellement entraîner une hospitalisation. Les symptômes qui ne mettent pas la vie en danger peuvent avoir un impact considérable sur la vie d’une personne et évoluer avec le temps, a-t-il ajouté.

Nous avons demandé au CDC d’expliquer pourquoi l’agence a modifié la façon dont elle compte les cas de Covid par échappement, d’expliquer l’effet que cela aura sur le nombre de cas de COVID par échappement et comment le CDC peut surveiller l’efficacité du vaccin s’il exclut les cas de Covid par échappement qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.

À ce jour, nous n’avons pas encore reçu de réponse, mais nous continuerons à faire pression sur le CDC pour obtenir des réponses à nos demandes.

Voici nos questions :

Questions au CDC en vue d’une investigation par le Congrès

1. Selon votre site web, le CDC assure le suivi de chaque décès signalé après une vaccination afin de demander des informations supplémentaires et d’en savoir plus sur “ce qui s’est passé pour déterminer si le décès est dû au vaccin ou non.”

Au 30 avril, 157 277 événements indésirables avaient été signalés au Vaccine Adverse Events Reporting System(VAERS) des CDC après la vaccination COVID, dont 3 837 décès et 16 014 blessures graves. Le site web des CDC confirme 4 178 décès signalés chez des personnes ayant reçu un vaccin COVID entre le 14 décembre 2020 et le 3 mai 2021.

  • Combien de ces rapports ont été suivis par le CDC jusqu’à présent ?
  • Quels sont les critères qui déterminent s’il faut poursuivre l’enquête ?
  • En quoi consiste une enquête ?
  • Combien de temps dure en moyenne une enquête ?
  • Où le public peut-il accéder aux conclusions des enquêtes menées sur les décès signalés ?

2. Le site web du CDC indique: “A ce jour, le VAERS n’a pas détecté de tendances dans la cause des décès qui pourraient indiquer un problème de sécurité avec les vaccins COVID-19.” Cependant, une recherche dans les rapports déposés au 30 avril montre ce qui semble être un certain nombre de tendances.

Veuillez expliquer pourquoi le CDC ne les reconnaît pas :

3. En ce qui concerne les 4 178 décès signalés, le site web des CDC indique: “Un examen des informations cliniques disponibles, y compris les certificats de décès, les autopsies et les dossiers médicaux, n’a révélé aucune preuve que la vaccination ait contribué aux décès des patients.”

  • Quels sont les critères permettant de déterminer si le vaccin a causé et/ou contribué au décès signalé ?
  • Où le public peut-il accéder à l’examen des décès signalés au CDC ?

4. Le 3 janvier, le département de la santé de Floride et les CDC ont annoncé qu’ ils menaient une enquête sur le décès du Dr Gregory Michael, décédé peu après avoir reçu le vaccin COVID de Pfizer. Le Dr Jerry L. Spivak, spécialiste des maladies du sang à l’Université Johns Hopkins, a déclaré au New York Times qu’il considérait comme une “certitude médicale” que le vaccin COVID de Pfizer avait causé la mort de Michael.

Le 8 avril, les médecins légistes ont établi que Michael était mort de complications liées au PTI, mais ont officiellement classé la mort comme naturelle car, selon Darren Caprara, directeur des opérations du service des médecins légistes du comté de Miami-Dade, il n’y avait “aucune certitude médicale” que le vaccin avait causé la mort de Michael.

Le 4 février, les médias ont rapporté que les autorités fédérales et de l’État enquêtaient sur le décès d’une femme de 58 ans, Drene Keyes, en Virginie, décédée quelques heures après avoir reçu la première dose du vaccin COVID-19 de Pfizer, suite à une anaphylaxie. Un article publié le 7 mars révèle qu’aucune autopsie n’a été pratiquée sur la cause du décès de Keyes et que la famille a dû la faire réaliser à leurs frais.

Le commissaire d’État à la santé, Norman Oliver, a indiqué aux agents chargés d’informer le public, dans un courriel daté du 5 février, que si les journalistes demandaient si une autopsie avait été pratiquée, ils devaient répondre qu'”une autopsie complète n’était pas nécessaire pour déterminer si le décès était lié à la vaccination”.

L’e-mail d’Oliver a été obtenu suite à une demande d’accès aux archives publiques qui a révélé que les responsables à l’intérieur et à l’extérieur du département de la santé craignaient que le décès de Keyes, qui est noir, n’aggrave l’hésitation à se faire vacciner parmi les minorités.

Le 5 février, une femme de 39 ans d’Ogden, dans l’Utah, est décédée quatre jours après avoir reçu une deuxième dose du vaccin COVID de Moderna. Kassidi Kurill est morte d’une défaillance d’organe après que son foie, son cœur et ses reins se soient arrêtés. Elle n’avait pas de problèmes médicaux connus ou de conditions préexistantes, selon sa famille.

  • Où le public peut-il accéder aux conclusions des enquêtes sur Michaels, Keyes et Ogden ?
  • Le CDC a-t-il mis en place des mécanismes pour s’assurer que les responsables locaux de la santé publique enquêtent correctement sur les décès signalés ?
  • Pourquoi le CDC n’a pas demandé l’autopsie de Keyes ?
  • Les autopsies sont-elles considérées comme essentielles pour prouver qu’un vaccin a causé un décès, ou l’autopsie n’est-elle pas un outil efficace pour déterminer la causalité et si non, pourquoi ? Une relation de cause à effet peut-elle être établie sans autopsie ?
  • Si non, que se passe-t-il dans les cas où un rapport est déposé mais où aucune autopsie n’a été pratiquée – ces rapports sont-ils rejetés ? Ou bien le vaccin est-il exclu comme cause ou facteur contribuant au décès ?

5. De nombreux médecins légistes et pathologistes ont déclaré qu’il n’y avait pas la possibilité de sélectionner un vaccin comme cause de décès dans leurs rapports. Cela a des implications évidentes pour déterminer si un vaccin est une cause sous-jacente ou un facteur contribuant à un décès déclaré.

  • Pouvez-vous vérifier que les médecins légistes et les pathologistes ont la possibilité d’indiquer sur leurs formulaires qu’un vaccin a causé et/ou contribué à un décès ?
  • Le CDC fait-il la différence entre un vaccin “contribuant à un décès” et “causant” un décès ? Dans l’affirmative, quels sont les critères permettant de faire la différence entre “contribuer” et “causer” ? Et sont-elles toutes deux rapportées au public ?

6. Selon le site web des CDC et les documents d’approbation de l’AMM conditionnelle par la FDA, les prestataires de soins de santé sont tenus par la loi de signaler certains événements indésirables au VAERS. Pourtant, selon le CDC, qui fait référence à une étude publiée par la revue “Vaccine“, seuls 17 % des médecins ont fait un rapport au VAERS, alors que plus de 31 % d’entre eux ont été témoins d’une réaction qu’ils pensaient avoir été causée par le vaccin.

De nombreux rapports ont établi que seulement 1 % des effets indésirables post-vaccinaux sont signalés au VAERS. Les médecins ne reçoivent que peu ou pas de formation sur la manière de reconnaître un effet indésirable lié aux vaccins, et ne sont pas non plus formés à l’école de médecine sur la manière de remplir un rapport dans le VAERS.

  • Existe-t-il un mécanisme par lequel le CDC peut confirmer si les prestataires de soins de santé font des déclarations au VAERS ?
  • Quelles mesures, le cas échéant, le CDC prend-il pour améliorer le VAERS, notamment pour s’assurer que tous les prestataires de soins de santé signalent intégralement tous les effets indésirables des vaccins COVID, qui ont été mis au point en un temps record et sont toujours, par définition, des produits expérimentaux ?

7. Sur le site du CDC, on peut lire: “À ce jour, le VAERS n’a pas détecté de tendances dans la cause des décès qui indiqueraient un problème de sécurité avec les vaccins COVID-19.”

  • Pouvez-vous expliquer comment le CDC est arrivé à cette conclusion alors que 3 544 décès ont été signalés (dont 25 % sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination), 12 619 blessures graves et plus de 118 902 effets indésirables – dont beaucoup ont été signalés par des prestataires de soins de santé ?

8. Au 30 avril, le système VAERS comptait 2 808 rapports de troubles de la coagulation sanguine pour les trois vaccins. Sur les 2 808 cas signalés, 1 043 rapports ont été attribués à Pfizer, 893 rapports à Moderna et 860 rapports à J&J.

Un adolescent de l’Utah a été hospitalisé pour trois caillots de sang dans et près de son cerveau qui se sont développés après qu’il ait reçu la première dose du vaccin COVID de Pfizer. Everest Romney, 17 ans, a reçu le vaccin le 21 avril et a commencé à ressentir des douleurs au cou, de la fièvre et d’importants maux de tête un jour plus tard. L’adolescent a été diagnostiqué avec deux caillots de sang à l’intérieur de son cerveau, et un à l’extérieur.

  • Le CDC enquête-t-il sur les rapports de troubles de la coagulation en lien avec les vaccins à ARNm ?

9. En mars 1976, le gouvernement fédéral a commercialisé en accéléré le vaccin contre le virus H1N1 après que des centaines de soldats de Fort Dix, dans le New Jersey, eurent contracté la nouvelle souche virale. Sur les 45 millions de personnes qui ont reçu le vaccin, 450 ont développé le syndrome de Guillain-Barré et parmi elles, plus de 30 sont décédées.

Quelques mois plus tard – en décembre 1976 – le gouvernement suspendait la campagne de vaccination de masse contre le virus H1N1, après que l’Académie nationale de médecine eut conclu que les personnes ayant reçu le vaccin couraient un risque accru de développer le syndrome de Guillain-Barré.

  • Combien de décès, en pourcentage du nombre total d’administrations d’un vaccin, faudrait-il pour que la FDA retire un vaccin du marché ? Et comment les critères de retrait des vaccins du marché se comparent-ils aux critères de retrait d’autres types de médicaments ?

10. Au 26 avril, plus de 9 245 cas de COVID avaient été signalés chez les personnes entièrement vaccinées. On parle alors de “cas d’échappement”.

Début mai, les CDC ont recommandé de réduire la valeur Ct de la RT-PCR à 28 cycles pour les personnes testées pour le COVID après avoir été entièrement vaccinées. Une valeur Ct plus faible indique une charge virale plus élevée dans l’échantillon, et vice versa. Un test PCR utilise généralement 40 cycles d’amplification, le Dr Fauci en recommande 35 et la norme mondiale est de 35.

L’abaissement des valeurs Ct à 28 (en excluant les valeurs Ct comprises entre 29 et 35) pour les personnes vaccinées réduira le nombre de cas Covid positifs par échappement, remettant en question les données sur l’efficacité du vaccin COVID.

  • Pouvez-vous expliquer pourquoi le CDC recommande une valeur Ct inférieure pour les personnes ayant été vaccinées COVID ?
  • Pouvez-vous expliquer l’impact de la réduction du seuil de RT-PCR à 28 sur les cas de COVID par échappement?
  • Pouvez-vous expliquer pourquoi le CDC n’exige pas une norme unique de test RT-PCR ?
  • Pourquoi les CDC ont-ils modifié leur rapport sur les cas d’échappement le 7 mai afin d’exclure les cas de COVID chez les personnes entièrement vaccinées, sauf s’ils entraînent une hospitalisation ou un décès ?
  • Le vaccin est conçu pour prévenir le COVID et/ou le COVID modéré à sévère. Comment le CDC peut-il évaluer l’efficacité du vaccin s’il exclut les cas de COVID qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès ?

11. En décembre 2020, les CDC ont lancé V-safe, financé par les contribuables, un outil basé sur les smartphones qui utilise des messages texte et des enquêtes en ligne dans le but de fournir des contrôles de santé personnalisés après avoir reçu un vaccin COVID-19. Selon le site web du CDC, on peut rapidement informer le CDC via cette application si vous avez des effets secondaires après avoir été vacciné.

  • Où le public peut-il accéder aux informations de V-safe ? Et si ces informations ne sont pas mises à la disposition du public, pourquoi ne le sont-elles pas et qui a accès à ces données ?