Aperçu des faits :

  • Le lien entre la vaccination antigrippale des personnes âgées de plus de 65 ans et les décès dus à la COVID-19 a été fermement établi, et démontre que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de mourir de la COVID-19.
  • L’ analyse réalisée en mai 2020 par le site web ‘The Gateway Pundit’ a également révélé que les pays européens avec les taux de mortalité les plus élevés de la COVID-19 avaient vaccinés plus de 50 % des personnes âgées.
  • De précédents vaccins contre les coronavirus ont déjà causé l’aggravation de maladies: la vaccination antigrippale pourrait potentiellement contribuer à la COVID-19 par l’amorçage pathogène, un processus selon lequel le système immunitaire ne lutte plus contre l’infection mais entraîne une maladie plus grave.
  • De plus en plus de recherches démontrent que la vaccination antigrippale pourrait aggraver les maladies virales. Les vaccins devraient ainsi être testés en tant que causes potentielles ou, du moins, en tant que facteurs contribuant à la pandémie de COVID-19.

On se préoccupe depuis longtemps de l’augmentation du risque de maladies pandémiques graves après la vaccination antigrippale. Cela s’est produit pendant la saison de la grippe 2008-2009, lorsque la vaccination antigrippale saisonnière a été associée à un risque accru de contracter la “grippe porcine” H1N1 au cours du printemps/été 2009 au Canada.

Une étude de janvier 2020 publiée dans la revue ‘Vaccine’ a également révélé que les vaccinés pendant la saison grippale de 2017 à 2018 étaient plus susceptibles de contracter une forme d’infection à coronavirus.

Ceux qui avaient reçu un vaccin contre la grippe étaient 36 % plus susceptibles de contracter une infection à coronavirus non spécifique et 51 % plus susceptibles de contracter une infection à métapneumovirus humain qui présente des symptômes similaires à ceux de la COVID-19. A l’époque, il n’était pas fait mention du SRAS-CoV-2, le coronavirus qui provoque la COVID-19.

La relation causale entre les décès dus au COVID-19 et les taux de vaccination antigrippale chez les personnes âgées a été à nouveau établie en octobre 2020, soulevant des questions sur les effets secondaires graves de ces vaccins.

Risque accru de décès par COVID-19 suite à la vaccination antigrippale.

Christian Wehenkel, professeur de génétique forestière, d’analyse des écosystèmes forestiers, de foresterie, de biométrie, de croissance des forêts et de biodiversité à l’Universidad Juarez del Estado de Durango, et rédacteur du journal ‘PeerJ’ , a analysé des ensembles de données provenant de 39 pays comptant plus d’un demi-million d’habitants. Il s’attendait à découvrir que la vaccination antigrippale serait liée à un risque de décès plus faible pour le COVID-19, mais les données ont plutôt révélé le contraire.

La relation causale entre la vaccination antigrippalechez les personnes de plus 65 ans et les décès dus à la COVID-19 a été établie et démontre que les vaccinés sont plus susceptibles de mourir de la COVID-19. Pr Wehenkel a déclaré: “Contrairement aux attentes, l’analyse actuelle au niveau mondial et la sous-analyse au niveau européen infirme le lien précédemment établi entre le nombre de décès par COVID-19 et la IRV (Immunisation RotaVirus) [influenza vaccination rate] chez les personnes âgées” .

L’analyse réalisée en mai 2020 par le site web The Gateway Pundit a également révélé que les pays européens avec les taux de mortalité les plus élevés de la COVID-19 avaient vaccinés plus de 50 % des personnes âgées. Cet article indique que: “Le Danemark et l’Allemagne vaccinant moins contre la grippe ont un taux de mortalité par la Covid-19 considérablement plus faible.

L’actualisation des chiffres pour l’automne 2020 a été possible pour les taux de mortalité liés à la COVID-19, mais pas pour les données sur la vaccination. Des pics dans la courbe des décès dus à la COVID-19 ont été constatés, laissant supposer une augmentation soudaine de la vaccination antigrippale dans les pays qui avaient auparavant fait état d’un taux de vaccinations plus faible :

“Ceci [increase in COVID-19 deaths] pourrait simplement démontrer que soit le virus a atteint un niveau endémique plus tard en Europe de l’Est, soit la vaccination anitgrippale a augmenté soudainement dans des pays où elle était peu pratiquée. Met on involontairement en danger les aînés ?

L’Organisation Mondiale de la santé fait une promotion pressante de la vaccination antigrippale en Europe, avec des avis mettant en garde ‘contre des visiteurs indésirables’ : ‘Protégez votre famille en vous faisant vacciner’. La pandémie de la Covid-19 a terrifié le public et beaucoup de gens considèrent le vaccin comme le seul moyen d’y échapper”.

Les données du Pr Wehenkel reprennent cependant là où elles s’étaient arrêtées, en montrant sur un graphique avec des points une association claire entre les décès dus à la COVID-19 par million d’habitants et le taux de vaccination contre la grippe, taux actualisé au 25 juillet 2020 (chaque point représentant un pays européen différent) :

 

Taux de vaccination contre la grippe (%)

 

Le problème de l’amorçage pathogène

A la Une, le rédacteur rappelle que corrélation ne signifie pas nécessairement causalité et, à la lumière des conclusions très controversées de l’étude du PeerJ , si elles s’avéraient justes, elles remettraient en question la vaccination annuelle contre la grippe.

On peut lire en page 10: “Cet article ne démontre pas la causalité entre la vaccination antigrippale et le risque accru de décès lié à la COVID-19, car de nombreux autres facteurs peuvent pris en compte (y compris, par exemple, des facteurs socio-économiques)”. Un lien de causalité peut exister, et il doit être examiné de toute urgence. The Gateway Pundit a expliqué:

‘Il est pertinent de poser la question suivante : les patients décédés du ou avec la Covid-19 ont-ils reçu le vaccin antigrippal ? Étant donné l’évidence de la corrélation entre les deux, démontrée dans les données de Wehenkel, une recherche urgente est nécessaire pour déterminer si la forte augmentation des décès dus à la Covid-19 en Europe de l’Est à l’automne 2020 est liée à une intensification de la vaccination antigrippale dans ces pays’.

Cela ne s’arrête pas là:

“Une autre question dérangeante se pose: “Est ce que le vaccin antigrippal a un lien avec les décès dus à la Covid-19 ou en est-il la cause par l’amorçage pathogène? Si les données de l’automne 2020 confirment la corrélation, la causalité devrait être étudiée en urgence et avec rigueur “.

Qu’est-ce que l’amorçage pathogène? C’est un processus où l’exposition au virus ou au vaccin intensifie la capacité du virus à pénétrer et à infecter les cellules entraînant une maladie plus graveau lieu de renforcer l’immunité contre l’infection.

Le ‘Journal of Translational Autoimmunity’ a publié une recherche confirmant que le traitement par un vaccin, plutôt que de protéger, peut augmenter les risques associés à un virus de ‘type sauvage’, et il conclut comme son titre l’indique, “l’amorçage pathogène contribue probablement à l’apparition d’une maladie grave, de longue durée ou mortelle dans le cas de la COVID-19. via l’auto-immunité“.

Les vaccins contre les coronavirus ont historiquement augmenté le risque de maladie.

James Lyons-Weiler de l”Institut for Pure and Applied Knowledge’, organisme à but non lucratif effectuant des recherches scientifiques d’intérêt publique, explique dans le ‘Journal of Translational Autoimmunity’ comment l’amorçage pathogène s’était manifesté lors des précédents essais du vaccin contre le coronavirus du SRAS.

Dans les essais avec le SRAS, un type d'”amorçage” du système immunitaire a été observé lors d’études sur les animaux portant sur des vaccins à base de protéines Spyke, ce qui a entraîné une morbidité et une mortalité accrues chez les animaux vaccinés qui ont ensuite été exposés au virus ‘de type sauvage’ du SRAS.

“Le problème, mis en évidence dans deux études, est devenu évident à la suite de la vaccination avec le virus du SRAS … les vaccins recombinés à base de protéines Spyke du SRAS n’ont pas protégé contre l’infection par le SRAS-CoV, et les souris ont également souffert d’une immunopathologie accrue avec des infiltrats éosinophiles dans leurs poumons.”

“Les furets vaccinés contre le SRAS-CoV ont également développé une forte réaction inflammatoire au foie (hépatite).” Les deux études ont fait l’hypothése d’une “réponse immunitaire cellulaire”.

“Ces résultats négatifs sont parfois nommés ‘renforcement du système immunitaire’, un euphémisme ne traduisant pas le risque accru de maladie et de décès dus à une exposition préalable à la protéine Spyke du SRAS. C’est pourquoi il est question d”amorçage pathogène’.

Même le Dr Peter Hotez, défenseur de longue date des vaccins, doyen de l’École nationale de médecine tropicale et professeur de pédiatrie, de virologie moléculaire et de microbiologie au Baylor College of Medicine, en fut attérré. Selon un article publié dans le PNAS(Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of Americ):

Dr. Hotez a fait partie des chercheurs qui ont étudié, il y a une vingtaine d’années, un vaccin contre le SARS, un autre coronavirus apparu en Chine qui s’est répandu dans le monde entier.

Lors des premiers tests, les cellules immunitaires des animaux vaccinés attaquaient les tissus pulmonaires, de la même manière que les cellules immunitaires avaient agressé les poumons des enfants ayant reçu le vaccin anti-VRS (Virus Respiratoire Syncytial). Dr Hotez pense vraiment avoir craint qu’un vaccin sûr soit à nouveau impossible”.

Robert F. Kennedy Jr. explique, dans notre interview de 2020, que les vaccins à base de coronavirus sont connus pour créér un renforcement paradoxal du système immunitaire malgré des années de recherche supplémentaire et de stratégies alternatives de développement.

Un jeune homme de 18 ans en bonne santé vacciné contre la grippe est mort de la COVID-19.

NBC News Chicago a rapporté la mort d’une jeune fille de 18 ans de Tinley Park, Illinois, morte de la COVID-19 en décembre 2020, trois jours seulement après avoir été hospitalisée. Ces histoires tragiques font peur à des millions de personnes, mais il est important de se rappeler que ce type de décès est extrêmement rare.

Dr Reid Sheftall rappelle que le taux de survie suite à la COVID-19 chez les nouveau-nés jusqu’à 19 ans est de 99,997 %, données des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies.

La disparition dramatique d’une adolescente en bonne santé, morte subitement d’un virus rarement dangereux pour cette tranche d’âge, devrait toutefois déclencher une enquête approfondie.

Dans une interview, sa mère a déclaré que l’adolescente avait été vaccinée contre la grippe. Est ce que ce vaccin a joué un rôle dans la réaction grave, et finalement fatale au virus ? Ce lien causal doit être pris en considération compte tenu du nombre croissant de recherches qui suggèrent que la vaccination antigrippale pourrait aggraver la maladie virale, même s’il est impossible de le savoir.

Par exemple, le ‘Journal of Virology’ a publié des recherches en 2011 qui demontrent que le vaccin antigrippal peut affaiblir le système immunitaire des enfants et augmenter le risque de tomber malade à cause de virus de la grippe non inclus dans le vaccin.

” A long terme, la vaccination annuelle utilisant des vaccins inactivés peut entraver l’induction de réactions croisées des cellules T CD8+ par des infections naturelles et peut donc affecter l’induction d’une immunité hétérosubtypique. Cela peut rendre les jeunes enfants qui n’ont pas été précédemment infectés par un virus de la grippe plus sensibles à l’infection par un virus de la grippe pandémique d’un nouveau sous-type”, ontnoté les chercheurs.

Les vaccins antigrippaux pourraient être des “contributeurs potentiels” à la pandémie.

Le Dr Allan S. Cunningham, pédiâtre à la retraite, a rappellé ce que les données confirment : les vaccins antigrippaux devraient être évalués en tant qu’agents causaux potentiels ou, du moins, en tant que facteurs contribuant à la pandémie COVID-19. Dans une réponse rapide à un article publié par le BMJ (British Medical Journal), il a déclaré:

“Un essai randomisé contrôlé par placebo chez les enfants a montré que les vaccins antigrippaux multipliaient par cinq le risque d’infections respiratoires aiguës causées par un groupe de virus non grippaux, dont les coronavirus …

Une telle observation peut sembler contre-intuitive, mais il est possible que les vaccins antigrippaux modifient notre système immunitaire de manière non spécifique et accroissent la sensibilité à d’autres infections ; cela a été observé avec le DTP ( Dyphtérie-Tétanos- Polio) et d’autres vaccins. Il existe d’autres mécanismes immunitaires qui pourraient également expliquer ce constat.

Pour étudier ces mécanismes, une étude cas-placébo s’impose … Il est dommage que le sujet des vaccins antigrippaux soit devenu un sujet tabou dans certains milieux”.

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont pendant ce tempssignalé que le pourcentage de spécimens respiratoires soumis à un test de dépistage de la grippe révélé positif est passé de plus de 20 % à 2,3 % depuis le début de la pandémie. En résumé, pour des raisons inconnues, lagrippe a essentiellement disparu . Même si les cas de grippe sont quasi inexistants, il est toujours fortement recommandé de se faire vacciner ‘surtout en cette saison’.

Publié à l’origine par Mercola.