Kayla Carrillo avait 12 ans lorsqu’elle a été vaccinée contre le contre le PVH (papillomavirus humain) avec le vaccin Gardasil. C’était le 17 août 2012. Kayla était une jeune fille heureuse, talentueuse et sportive. Elle aimait faire de la musique, jouait de plusieurs instruments et a émis très jeune le souhait de faire des études d’art.

Marlena Carrillo a autorisé sa fille Kayla à se faire vacciner au Gardasil après avoir vu de nombreuses publicités de la firme Merck qui le commercialise, attestant de la sécurité et de l’efficacité du vaccin dans la prévention du cancer du col de l’utérus.

Un jour après la première injection, Kayla a fait une crise semblable à une crise d’épilepsie, caractérisée par un regard fixe, un gonflement du visage, des troubles de l’élocution et de graves maux de tête. Elle a ensuite souffert de graves migraines, de douleurs abdominales et de toute une série d’autres problèmes de santé invalidants.

Cinq mois après sa première injection, Kayla a eu une violente crise d’épilepsie et a dû être conduite aux urgences. À peu près à la même époque, elle était également confrontée à des problèmes de menstruations irrégulières, notamment à des saignements abondants en début de cycle.

Sa santé a continué à se détériorer après qu’elle ait reçu une autre dose du vaccin Gardasil. Deux jours seulement après le rappel de vaccin, Kayla s’est effondrée pendant le cours d’éducation physique et a été transportée d’urgence à l’hôpital pour enfants du comté d’Orange.

Kayla a subi depuis l’âge de 15 ans au moins une intervention chirurgicale par an portant sur ses organes de reproduction. Les médecins disent qu’elle ne pourra pas être enceinte et ne pourra pas non plus avoir recours à la fécondation in vitro (FIV).

« L’une des choses les plus difficiles à entendre pour une mère, c’est que votre fille ne pourra pas avoir d’enfants », dit Marlena Carrillo. “Devoir être celle qui annonce à sa fille qu’elle ne pourra pas être enceinte est une douleur qui dépasse les mots. Les gens doivent être informés que ces risques sont très réels. Ils doivent connaître exactement ce qu’ils vont devoir affronter avec le Gardasil”.

Le diagnostic clinique de Kayla inclut, entre autres, la dysautonomie, syndrome neurologique correspondant à un dérèglement du système neurovégétatif, le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (POTS), l’intolérance orthostatique (OI), la neuropathie des microfibres (SNF), la neuropathie, le syndrome d’activation des mastocytes (MCAS), les crises d’épilepsie et l’endométriose.

En raison de ces traumatismes et d’autres maladies handicapantes, Kayla ne peut pas garder un emploi pendant une période de temps prolongée. De plus, elle ne peut pas non plus conduire en raison des risques d’évanouissement ou de crise au volant.

Bien evidemment, si Marlena avait pu seulement imaginer que le Gardasil était capable de causer autant de dégâts, elle n’aurait jamais permis à sa fille de se faire vacciner contre le HPV.

C’est le septième procès Gardasil que Baum Hedlund et moi-même avons intenté contre Merck pour attaquer le dangereux et défectueux vaccin anti-papillomavirus de la société pharmaceutique, qui a entraîné de graves problèmes de santé.

En plus du dossier de Kayla déposé cette semaine, nous avons déposé des dossiers au nom de Michael Colbath de Californie, Sahara Walker du Wisconsin, de Zach Ottodu Colorado, de Julia Balasco de Rhode Island ainsi que de deux autres personnes.

Bien que chaque cas soit unique, ils présentent des points communs : Tous nos clients étaient des enfants heureux, en bonne santé, éveillés, actifs et au potentiel illimité jusqu’à ce qu’ils se fassent vacciner avec le Gardasil contre le VPH.

Nous sommes déterminés à faire en sorte que ces affaires soient portées devant un tribunal le plus tôt possible.