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octobre 27, 2020

Comment Bill Gates contrôle les messages et la censure au niveau planétaire

Bill Gates est le plus grand producteur de vaccins au monde et le plus gros contributeur au budget de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) – depuis que le président Trump a mis fin au soutien des États-Unis dans l’attente d’une enquête sur la gestion de la crise COVID-19 par l’OMS — et un donateur majeur au Centre de Prévention et de Contrôle des Maladies (CDC). Ces agences sont désormais les armes marketing au service de son empire du vaccin.

En janvier 2019, l’OMS, influencée par Gates, déclarait que «l’hésitation vaccinale était une menace mondiale majeure pour la santé » (avec Ebola, le VIH, la guerre et les agents pathogènes résistants aux médicaments, entre autres), signalant une ruée vers l’or des laboratoires pharmaceutiques du monde entier pour mandater la vaccination à tous.

M. Gates a également fourni un soutien financier au comité d’action politique du Président de la puissante Commission du Renseignement des Etats-Unis, Adam Schiff. En février 2019, Schiff écrit à Facebook, Google et Amazon pour leur demander de censurer la « désinformation vaccinale », un terme signifiant tout scepticisme à l’égard des déclarations du gouvernement et de l’industrie sur l’innocuité ou l’efficacité des vaccins, qu’elles soient vraies ou non.

« Les vaccins sont à la fois efficaces et sûrs », écrit M. Schiff. « Rien n’indique que les vaccins causent des maladies mortelles ou invalidantes. »

Pure désinformation. Un an plus tôt, Schiff avait poussé un projet de loi visant à augmenter le budget d’administration du tribunal des vaccins à 11 200 000 $ afin de réduire le retard des dossiers concernant les préjudices causés par la vaccination. Le tribunal avait déjà versé 4 milliards de dollars pour les décès et les préjudices physiques causés par la vaccination..

Facebook et Pinterest ont déclaré qu’ils s’en remettront à l’OMS et à la Fondation CDC, financés par Gates, pour dire quelles déclarations en ligne sont considérées comme « de la désinformation ou des canulars ».

Facebook et Google utilisent « FactChecker » (Politifact) pour censurer la désinformation vaccinale.

Politifact a été lancé grâce à une bourse de la Fondation Gates.

Dans son article, “Facebook « Fact-Checker » désinforme les utilisateurs sur la sécurité des vaccins », Jeremy Hammond, journaliste d’investigation, conclut : « Facebook est coupable d’avoir mal informé ses utilisateurs sur la sécurité des vaccins… Ils n’ont rien à redire sur les mensonges concernant la sécurité et l’efficacité des vaccins, tant qu’ils visent à persuader les parents de vacciner leurs enfants.

Le 4 mai 2017, FactChecker déclarait comme fausse la déclaration suivante de Del Bigtree : « Les vaccins contiennent de l’aluminium et du mercure, qui sont des neurotoxines, et les vaccins causent l’encéphalopathie. »

FactChecker expliqua : « Les données actuelles montrent que les vaccins sont sûrs et ne causent pas de toxicité ou d’encéphalopathie. »

Les notices des fabricants révèlent que de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium et du mercure,et causent l’encéphalopathie.

Enfin, des dons massifs aux réseaux de radiodiffusion (NPR) et de télévision PBS publics aux Etats-Unis garantissent à Gates une couverture tendancieuse à propos des vaccins dans tous les médias de service public.

 

 

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