L’histoire en un coup d’œil :

  • Le Publicis Groupe, une société de relations publiques de premier plan, représente de grandes entreprises dans les secteurs technologique, pharmaceutique et bancaire. Ces entreprises ont de leur côté divers partenariats avec le gouvernement américain et des organisations non gouvernementales (ONG) internationales.
  • Publicis est un partenaire du Forum économique mondial, qui est à l’origine de l’appel à une “réinitialisation”de l’économie mondiale ainsi qu’à une refonte complète de notre mode de vie. À ce titre, Publicis semble jouer un rôle important, en coordonnant la suppression des informations qui vont à l’encontre du narratif technocratique.
  • Le rôle de la presse libre est de contrer la propagande de l’industrie. Ce rôle a été efficacement subverti par la publicité. Les médias font rarement des reportages sur des sujets qui pourraient nuire à leurs annonceurs.
  • Publicis se connecte à l’industrie pharmaceutique, au secteur bancaire, à NewsGuard/HealthGuard, aux institutions éducatives, Lesgrandes entreprisestechnologiques comme Google, Microsoft et Bing, le département d’État et le département de la défense des États-Unis, des institutions technocratiques mondiales comme l’Organisation mondiale de la santé, des ONG nationales et mondiales comme le CCDH et le Forum économique mondial, et des sites web de santé dominants comme WebMD et Medscape.
  • Tous ces liens pris ensemble expliquent comment certaines opinions peuvent être si efficacement effacées. La réponse à ce dilemme est la transparence. Nous devons dénoncer les machinations qui permettent de faire avancer cet agenda.

Toute stratégie qui réussit à manipuler l’opinion publique est vouée à être réutilisée, et nous pouvons maintenant voir clairement comment le manuel mode d’emploi de l’industrie du tabac a servi à façonner le récit public sur la COVID-19 et l’ère post-COVID telle qu’ils l’ont prévue.

En 2011, après de nombreuses années de sensibilisation aux organismes génétiquement modifiés (OGM) et à l’agriculture industrielle, nous avons décidé qu’il nous fallait un nouveau plan d’action. Informer les gens par le biais de notre bulletin d’information était une excellente chose, mais nous avons réalisé que la meilleure façon de dénoncer Monsanto – un des principaux défenseurs des OGM et propriétaire de semences brevetées de l’époque – était de l’amener à s’engager directement et de manière visible, et de s’assurer ensuite l’attention nationale.

À cette fin, Mercola.com a financé la collecte de signatures en Californie à l’origine de la proposition 37, le droit de savoir ce que contient votre nourriture en garantissant un étiquetage correct des OGM. Nous avons dépensé plus d’un million de dollars pour l’initiative Prop 37, et plusieurs millions de dollars supplémentaires pour des initiatives d’étiquetage des OGM dans d’autres États américains au cours des années suivantes.

Cette initiative a obligé Monsanto à s’engager directement auprès du public pour défendre ses produits toxiques et ses pratiques commerciales dangereuses, tout en bénéficiant d’une couverture nationale.

L’affaire Monsanto

Monsanto a dépensé des dizaines de millions de dollars pour attaquer tous ceux qui se trouvaient sur son chemin, mais ils l’ont fait de manière détournée, tout comme l’avait fait l’industrie du tabac avant eux. Ceci représente la clé de voûte de ce que je vais décrire maintenant.

Ils ont utilisé une équipe de relations publiques pour faire la plupart de leur sale boulot – payer des scientifiques et des universitaires pour qu’ils expriment leurs “opinions indépendantes”, influencer les revues scientifiques et obtenir des journalistes et des comités de rédaction qu’ils écrivent des articles favorables et influents pour les aider à maintenir leurs mensonges et à influencer les esprits.

Pourtant, si les dizaines de millions de dollars dépensés pour influencer les électeurs ont abouti à une défaite de justesse de la Prop 37, la nouvelle prise de conscience généralisée des OGM, des pesticides et de l’agriculture industrielle a finalement conduit à la disparition de Monsanto.

En 2013, dans un ultime effort pour sauver son image ternie, Monsanto a engagé la société de relations publiques Ketchum. Comme le note Paul Thacker dans un article du HuffPost, “Monsanto a rebondi avec Ketchum”, qui “a créé une campagne appelée GMO Answers (OGM : Les réponses), et s’Est servi des médias sociaux et de scientifiques tiers pour proposer un contre-récit afin d’apaiser les inquiétudes au sujet des produits de Monsanto”.

Le site web “GMO Answers” a été créé pour permettre à des professeurs d’universités publiques de répondre aux questions du grand public au sujet des OGM – prétendument sans être rémunérés par l’industrie. Mais au fil des ans, il est apparu que ces universitaires sont loin d’être indépendants et qu’ils finissent souvent par être payés pour leurs contributions par des moyens détournés, comme par exemple des subventions sans contrepartie.

Le professeur Kevin Folta de l’université de Floride en est un exemple éminent, décrit dans mon article de 2016 “Scientific American – Another Monsanto Bedfellow”(Un scientifique américain – Un compagnon de plus dans le lit de Monsanto) Dans cet article, je passe également en revue la façon dont GMO Answers a co-parrainé une table ronde sur les OGM en mars de cette année-là avec le service des médias et des partenariats de Scientific American.

À l’époque, Jeremy Abatte, vice-président et éditeur de Scientific American, a insisté sur le fait que l’événement n’était pas un événement proposé par Ketchum, mais bien un événement de Scientific American. Mais peu de gens ont cru à son discours et beaucoup ont fini par classer Scientific American dans la catégorie des publications avocates de la biotechnologie chimique.

Après avoir acheté Monsanto fin 2016, Bayer a poursuivi la stratégie consistant à s’appuyer sur des sociétés de relations publiques pour gagner la confiance du grand public. Dans l’article “Bayer’s Shady PR Firms : Fleishmanhillard, Ketchum, FTI Consulting”, (Les sociétés de relations publiques douteuses de Bayer : Fleishmanhillard, Ketchum, FTI Consulting), U.S. Right to Know (Le droit de savoir) passe en revue les nombreux scandales de fraude impliquant ces sociétés. L’une des principales révélations concerne les preuves apportées “qu’il existe des stratégies objectives pour faire taire les voix fortes”.

Après avoir enquêté sur les stratégies utilisées par Monsanto et Bayer, nous pouvons à présent affirmer que Big Tech et Big Pharma utilisent le même scénario pour façonner les récits officiels sur la COVID-19 et le “Big Reset” (la grande réinitialisation). Une fois de plus, un aspect central de ces campagnes consiste à faire taire toute critique et tous les détracteurs, en particulier ceux qui sont très suivis sur Internet, y compris votre serviteur.

J’ai été publiquement qualifié de “menace pour la sécurité nationale” au Royaume-Uni par Imran Ahmed, membre du comité directeur de la Task Force sur la lutte contre l’extrémisme de la Commission du gouvernement britannique pour la lutte contre l’extrémisme et directeur général du Centre de lutte contre la haine sur internet Centre for Countering Digital Hate (CCD)

Selon Ahmed, moi-même et d’autres personnes qui remettent en question la sécurité et la nécessité d’un vaccin COVID-19 pourrions être enclins à la violence extrémiste. Cette déclaration diffamatoire n’a clairement aucun fondement dans la réalité. Il s’agit plutôt d’un élément de la propagande visant à détruire l’opposition – en l’occurrence, l’opposition aux technocrates qui dirigent le programme de la Grande Réinitialisation, lequel s’étend à tous les secteurs, sociaux, économiques et sanitaires.

Comme l’a rapporté le Centre national d’information sur les vaccins (National Vaccine Information Center), qui figurait également sur la liste des menaces de sécurité nationale du CCDH :

“Le CCDH, financé de manière anonyme, dispose également d’un bureau à Washington, D.C. et la campagne publicitaire diffamatoire créée en décembre 2020 a été conçue non seulement pour discréditer le bilan public de quatre décennies du NVIC, qui travaille au sein du système démocratique américain pour garantir la sécurité des vaccins et la protection du consentement éclairé dans les politiques et les lois de santé publique, mais aussi pour détruire notre petite association caritative.”

Publicis est l’une des forces motrices de la fraude du Great Reset

La tromperie du public se pratique désormais à grande échelle, et le tout semble être dirigé et organisé par une autre grande société de relations publiques, cette fois-ci le Publicis Groupe, qui se décrit lui-même comme “l’un des plus grands groupes de communication du monde”, et qui représente de grandes entreprises dans les secteurs technologique, pharmaceutique et bancaire.

Ces entreprises ont de leur côté divers partenariats avec le gouvernement américain et des organisations non gouvernementales (ONG) internationales. Publicis est également partenaire du Forum économique mondial, qui est à l’origine de l’appel à une “réinitialisation”de l’économie mondiale et à une refonte complète de notre mode de vie. Comme vous le verrez, les empreintes digitales de Publicis se retrouvent partout dans le réseau de censure et de détournement de l’attention maintenant déployé à travers tout le paysage numérique.

Depuis près d’un siècle, le groupe Publicis manipule tout ce que les gens pensent au sujet des produits du commerce. Au cours de ce siècle, le groupe a acheté ou s’est associé à des circuits publicitaires ciblés, à commencer par les journaux, puis la radio, la télévision, le cinéma et internet. Plus récemment, ils se sont lancés dans l’acquisition de Big Data et de plateformes d’intelligence artificielle.

Pour comprendre le pouvoir dont disposent aujourd’hui les sociétés de relations publiques telles que Publicis, il faut comprendre le rôle de la presse libre. Si la publicité pro-industrie a bien fonctionné pendant des décennies, il restait toujours le problème ennuyeux du quatrième pouvoir, terme qui fait référence à la presse et aux médias.

Le problème majeur qui se posait à l’industrie était que des journalistes d’investigation professionnels travaillant pour les magazines, les journaux et les organismes de radiodiffusion écrivaient des articles de fond, dévoilant la vérité qui se cachait derrière les publicités mensongères et contrecarrant ainsi la propagande de l’industrie à l’aide de données scientifiques, de statistiques et d’autres faits documentés – et lorsqu’une presse libre, qui publie des reportages honnêtes reposant sur des faits vérifiables, fait son travail, les produits inefficaces ou toxiques sont retirés du marché.

La réponse que l’industrie a trouvée à la fin du 20e siècle pour combattre la vérité dans le journalisme a été, purement et simplement, de contrôler le quatrième pouvoir à coup de dollars publicitaires. Les organismes de presse ne publieront tout simplement plus de reportages susceptibles de nuire aux résultats de leurs annonceurs.

En s’associant davantage avec les “poids lourds” des médias – tels que le Paley Center for Media – Publicis et ses clients industriels ont pu influencer et contrôler la presse afin de restreindre, voire d’éliminer votre capacité à obtenir la vérité sur de nombreuses questions de fond.

Publicis, Big Pharma et NewsGuard

Pour démarrer le tour de cette toile tentaculaire de connexions industrielles autour de Publicis, examinons ses liens avec l’organisme autoproclamé de surveillance de l’internet, la start-up NewsGuard. NewsGuard évalue les sites web sur la base de critères de “crédibilité” et de “transparence”, apparemment pour guider les internautes vers les sources d’information les plus fiables.

Dans les faits, cependant, NewsGuard fait office de gardien et a pour mission de bloquer toute vérité impopulaire et toute divergence d’opinion derrière des grilles bien verrouillées. Son système de classement manifestement biaisé dissuade facilement les gens de consulter des informations provenant de sites moins bien cotés, y compris le mien.

NewsGuard a reçu une grande partie de son capital de lancement de Publicis. NewsGuard a également des liens avec le Paley Center for Media, mentionné précédemment. Pour plus de clarté, il faut mentionner que le Paley Center est constitué de tous les grands médias du monde, dont Microsoft, AOL, CBS, Fox et Tribune Media. L’une de ses activités consiste à parrainer un forum mondial annuel pour les leaders de l’industrie.

NewsGuard est hébergé au Paley Center à New York. En novembre 2015, la présidente de Publicis pour l’Amérique du Nord, Susan Gianinno, a rejoint le conseil d’administration du Paley Center.

Leo Hindery, un ancien partenaire commercial des codirecteurs généraux de NewsGuard, Steven Brill et Gordon Crovitz, est également un ancien administrateur et directeur du Paley Center. Tous ces éléments font que NewsGuard a des liens assez influents avec le Paley Center, outre le fait qu’il est également locataire de leur immeuble.

Comme nous l’avons mentionné, Publicis représente la plupart des grandes sociétés pharmaceutiques du monde, et comme une grande partie de ses revenus provient de l’industrie pharmaceutique, il n’est pas exagéré de supposer que Publicis pourrait avoir de l’influence sur les évaluations de NewsGuard sur les concurrents de l’industrie pharmaceutique tels que les sites de santé alternatifs.

Publicis, Big Pharma, NewsGuard et Big Tech

Maintenant, ajoutons une couche de Big Tech dans ce mélange. Publicis, qui représente Big Pharma, a non seulement les moyens et la possibilité d’influencer le public par le biais de NewsGuard, mais il est également un partenaire de Google, ce qui lui permet de faire disparaitre encore plus facilement toutes les opinions indésirables qui pourraient déplaire à sa clientèle.

NewsGuard est également en partenariat avec Microsoft, tout au début; par le biais du programme Defending Democracy (défendre la démocratie) de Microsoft. Grâce à un partenariat renfordé annoncé en 2020, les utilisateurs de Microsoft Edge ont pu accéder gratuitement à NewsGuard, et Microsoft Bing a pu accéder aux données de NewsGuard.

Publicis, pharma, NewsGuard, Big Tech, gouvernement et ONG

En élargissant la toile aux gouvernements et aux ONG, nous constatons que NewsGuard est également lié au département d’État américain, au ministère de la défense américain et à l’Organisation mondiale de la santé. Tous trois sont répertoriés comme partenaires de NewsGuard.15 NewsGuard est également en partenariat avec:

  • Bibliothèques publiques
  • Écoles
  • MSN
  • Bing
  • Trend Micro et bien d’autres

Pour résumer, le réseau de Publicis comprend désormais des sociétés pharmaceutiques internationales, NewsGuard, Google, Microsoft, le département d’État américain et le ministère de la défense américain (DOD), l’OMS et le Forum économique mondial. Attention, il ne s’agit pas ici d’une liste et d’un examen exhaustif des liens existant. Il ne s’agit que d’un échantillon d’entités pour vous donner une idée de l’ampleur de ces connexions, qui, prises ensemble, expliquent comment certaines opinions peuvent être si efficacement effacées.

Ajoutez-y un groupe “anti-haine” et des sites de santé approuvés par Google.

Mais nous sommes loin d’avoir fini. Le service de NewsGuard lié à la santé, appelé HealthGuard, est également partenaire de WebMD, Medscape et le CCDH – le leader progressiste de la “cancel culture”, cette annulation progressive de tout, qui entretient des liens étroits avec le gouvernement et les groupes de réflexion mondiaux appelés Think Tanks, et qui a récemment qualifié de menaces pour la sécurité nationale les personnes remettant en question le vaccin COVID-19.

En 2017, WebMD a été racheté par Internet Brands, une société appartenant à la société d’investissement mondiale Kohlberg Kravis Roberts (KKR). KKR possède également plusieurs autres marques Internet liées à la santé. Comme WebMD était propriétaire de Medscape, elle appartient maintenant aussi à KKR Internet Brands.

Ensemble, HealthGuard, CCDH, WebMD et Medscape ont lancé une campagne de service public appelée VaxFacts. L’objectif de la campagne est de “fournir des faits et des outils pour aider les consommateurs à prendre des décisions éclairées sur les vaccins”, rapporte WebMD.

Parallèlement à cette campagne, Google finance des organisations de fact checkers, censés “vérifier les faits”, à hauteur de 3 millions de dollars, dans le but de contrer la “désinformation sur les vaccins”, et NewsGuard gère un “Coronavirus Misinformation Tracking Center” qui comprend un “Top COVID-19 Vaccine Myths Tracker”.

WebMD domine les recherches sur la santé effectuées via Google et partage la data, toutes les informations collectées sur les utilisateurs, avec la branche publicité de Google et d’autres entreprises tierces, une pratique qui est illégale en Europe.

Cela signifie que DoubleClick, le service publicitaire de Google, sait quelles ordonnances vous avez recherchées sur le site, vous proposant ainsi des publicités personnalisées pour des médicaments, et que Facebook sait ce que vous avez recherché dans le vérificateur de symptômes de WebMD, ainsi que les diagnostics médicaux que vous avez reçus. J’ai examiné ces conclusions dans “WebMD et Healthline exposés à la violation de votre vie privée“.

Étant donné que la plupart de ses revenus proviennent de la publicité, WebMD est loin d’être une source indépendante d’informations médicales “bien documentées”. Par exemple, il a été pris en flagrant délit de publication d’ “articles” en faveur de Monsanto, qui sont en réalité des publicités payantes connues dans le monde des médias sous le nom de publi-reportages.

Il y a dix ans, WebMD a également été pris à publier un faux test en ligne de dépistage de la dépression. En réalité, il s’agissait d’une astuce publicitaire pour l’antidépresseur Cymbalta, et il n’y avait en fait, quels que soient leurs résultats, aucun moyen pour les participants au test d’obtenir un certificat de bonne santé mentale.

Résumé

Donc, pour récapituler, nous trouvons des liens entre l’industrie pharmaceutique, NewsGuard/HealthGuard, les établissements scolaires, les grandes entreprises technologiques comme Google, Microsoft et Bing, le Département d’État et la Défense des États-Unis, les institutions technocratiques mondiales comme l’OMS, les ONG nationales et mondiales comme le CCDH et le Forum économique mondial, et les sites Web de santé dominants comme WebMD et Medscape.

Là encore, il ne s’agit pas d’une étude exhaustive de ce type de connexions. Ce n’est qu’un petit échantillon des relations aisément identifiables. Au centre de cette toile se trouve le groupe Publicis, qui compte parmi ses clients de grandes entreprises pharmaceutiques, des sociétés de haute technologie et des institutions financières dans plus de 100 pays.

Par ailleurs, Publicis a également commencé à investirdans les technologies d’intelligence artificielle en 2017 et s’est associé à Microsoft en 2018 pour développer une plateforme mondiale d’IA. Elle a également acheté la société de données Epsilon en 2019, établissant ainsi la propriété des données dites de première main, donc des données collectées directement auprès des utilisateurs, clients, visiteurs du site, personnes qui suivent les médias sociaux – une matière première d’une valeur inestimable pour l’utilisation de l’intelligence artificielle.

Comme le précise son site web, l’expertise du cabinet repose sur quatre activités principales : la communication, les médias, les données et la technologie (y compris les services d’IA), et tous les clients ont accès à son expertise dans tous ces domaines.

Bien sûr, il serait facile de considérer Publicis comme une agence de publicité parmi d’autres, mais je considère qu’il serait tout autant imprudent de sous-estimer ses capacités à organiser le type de coordination nécessaire pour mettre un terme aux débats sur les vaccins, aux efforts des défenseurs de la lutte anti-confinement et aux initiatives visant à informer leurs concitoyens des dangers du Great Reset, volontiers présenté comme une étape post-COVID “incontournable”.

Ces faits peuvent sembler sans rapport, et pourtant, ils sont bel et bien étroitement liés. Comme mentionné plus haut, leur Big Reset, cette “grande réinitialisation” implique tout – y compris la santé, l’éducation, le gouvernement, l’économie, la redistribution des richesses, les pratiques commerciales, les “protections” environnementales – et bien plus encore.

Publié à l’origine par Mercola.