Tous se posent la question de savoir si les prochains vaccins COVID seront efficaces. Seront-ils sécuritaires ? Enfin et surtout, seront-ils obligatoires ? Seront-ils obligatoires au niveau fédéral ou au niveau des États ? Un employeur peut-il rendre obligatoire les vaccins?

Beaucoup de personnes se demandent aussi comment elles pourront protéger leurs droits à l’intégrité corporelle, à la liberté de religion, à la vie privée, leurs droits liés à l’autorité parentale, le droit de refuser des interventions médicales non désirées, ainsi que l’égalité de protection et une procédure équitable.

Pour aider à répondre à ces questions, ‘Children’s Health Defense’ a publié un rapport spécial fournissant le contexte scientifique et légal pour la protection des droits individuels. Dans ce rapport succinct, vous trouverez des informations essentielles permettant de prendre des décisions en connaissance de cause pour vous et votre famille face aux prochains vaccins COVID

Les points suivants sont abordés dans ce rapport spécialavec plus de détails et des références complètes :

  • La vaccination obligatoire viole les droits fondamentaux, notamment quand il s’agit d’interventions médicales, en particulier le droit à un consentement préalable, libre et éclairé. Le droit commun, les lois des États et les lois fédérales, le Code de Nuremberg (1947) et la Déclaration de l’UNESCO sur la bioéthique et les Droits de l’homme de 2005 établissent la nécessité d’un consentement éclairé.
  • La Covid-19 ne doit pas devenir un prétexte pour une vaccination obligatoire.
  • L’édifice juridique qui rend la vaccination obligatoire repose sur une décision de la Cour Suprême vieille de plus d’un siècle. Les décisions subséquentes de tribunaux inférieurs concernant l’obligation vaccinale diffèrent radicalement de celles de la Cour Suprême et ces décisions ont donné lieu à des résultats qui ne protègent ni la santé ni les droits individuels.
  • Grâce aux progrès réalisés au cours du XXe siècle en matière d’assainissement, d’hygiène, de la réfrigération et d’accès à l’eau potable, les maladies infectieuses ont diminué de façon spectaculaire. La diminution des maladies infectieuses n’est pas du tout liée à la vaccination.
  • Les vaccins provoquent des maladies et des décès qui sont loin d’être ‘rares’ ou exceptionnels. À la demande du ‘Department of Health and Human Services (HHS)’ (ministère de la Santé et des Services sociaux), une étude de 2010 fait état d’au moins une maladie déclarée sur 39 vaccins administrés.
  • Concernant les effets indésirables, le ‘Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)’ fait un travail de piètre qualité en signalant moins de 1 % des cas. Le ‘Centers for Disease Control and Prevention (CDC)’ refuse de prendre les mesures nécessaires pour améliorer les données du VAERS.
  • Un processus réglementaire défectueux et corrompu permet des raccourcis et des fraudes en matière de sécurtié vaccinale. Aucun essai clinique pour les vaccins administrés aux bébés et aux tout-petits n’a utilisé un groupe témoin inerte du placebo, et la plupart des essais ont suivi de jeunes receveurs pendant seulement quelques jours ou quelques semaines.
  • En vertu de la ‘1986 National Childhood Vaccine Injury Act (NCVIA)’ (Loi nationale sur les maladies causées par les vaccins chez les enfants), les fabricants de vaccins et les établissements de soins de santé ne peuvent pas être tenus responsables des maladies causées par les vaccins recommandés par le gouvernement fédéral. La loi permet aux entreprises d’échapper à l’examen minutieux et à l’accès aux documents associés aux litiges.
  • En vertu de la Loi ‘2005 Public Readiness and Emergency Preparedness (PREP) Act’ (Loi sur l’adhésion du public et la préparation aux situations d’urgence), les fabricants, les établissements de soins de santé et les représentants du gouvernement seront exempts de toute responsabilité en cas de maladies ou de décès potentiels liés au vaccin COVID-19. Il est probable que l’indemnisation par l’entremise du ‘Countermeasures Injury Compensation Program’ (Programme d’indemnisation contre les maladies) sera négligeable.
  • Le ‘U.S. Department of Health and Human Services (HHS)’ (Département de la Santé et des Services sociaux) a l’obligation légale d’étudier les maladies liées aux vaccinations, d’améliorer l’innocuité des vaccins et de faire un rapport tous les deux ans au Congrès, mais cela n’a jamais été fait depuis plus de 30 ans.
  • Le National Vaccine Injury Compensation Program, également créé en 1986, oppose les demandeurs affectés par le vaccin au SSH dans le cadre d’un processus contradictoire et habituellement infructueux. En plus de trois décennies, le programme n’a indemnisé qu’un tiers des pétitions déposées. Néanmoins, la rémunération accordée à ce jour dépasse 4,4 milliards de dollars. En plus de trois décennies, le programme n’a indemnisé qu’un tiers des requérants. Malgré tout, l’ensemble des indemnisations accordées à ce jour dépassent 4,4 milliards de dollars.
  • L’immunité induite par la vaccination — si jamais elle se produit — diminue avec le temps, et parfois rapidement. Chez les populations fortement vaccinées, on constate des éclosions de maladies telles que la rougeole, les oreillons, la coqueluche et la varicelle. L’immunité collective et l’éradication des maladies ne peuvent être obtenues de manière fiable par la vaccination.
  • Les enfants aux États Unis n’ont jamais été aussi atteints de maladies. L’adoption de la loi NCVIA a provoqué une augmentation rapide du nombre de vaccins sans aucune reconnaissance de responsabilité et a créé un des calendriers vaccinaux infantiles le plus offensif au monde. Plus de la moitié (54 %) des enfants aux Ètats Unis développent actuellement au moins une maladie chronique, et beaucoup ont de multiples problèmes de santé.
  • Les vaccins COVID-19 contiennent des technologies de modification génétique favorisant l’inflammation qui peuvent se traduire par des changements génétiques transmissibles aux générations futures. Les avocats ne doivent pas donner leur aval à des interventions médicales sans responsabilité reconnue et qui comportent de facto des risques expérimentaux inconnus.

Une fois que vous aurez pris connaisance du rapport spécial,envisagez de l’envoyer à votre famille, à vos amis et à vos collègues. La plupart des gens ne connaissent pas ce rapport controversé.

Les vaccins COVID n’ont pas été développés dans l’absolu. Ils sont l’aboutissement d’une histoire longue et qui soulèvent des questions. Toutes les personnes à qui l’on demandera de se faire vacciner contre la COVID devraient avoir accès à cette information avant de prendre des décisions susceptibles de modifier leur vie.