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décembre 04, 2020

Le directeur de la FDA, Peter Marks, et l’histoire sans fin du vaccin COVID

 

 

Après nous avoir plongés dans un confinement avec des effets désastreux sur l’économie dans l’attente d’un vaccin miracle, les escrocs de Big Pharma font désormais marche arrière, comme des ballons de baudruche. Au cours d’une visioconférence de la FDA le 8 juillet, le directeur du CBER, Peter Marks, a déclaré que la FDA est maintenant prête à homologuer les vaccins COVID avec une efficacité de 50% maximum – et au minimum de 30%-, un recul humiliant par rapport à la promesse de Gates/Fauci d’un vaccin qu’ils ont l’intention d’admnistrer à sept milliards de personnes afin de revenir à la “normale“. Tony Fauci du NIH, se dégonfle de la même façon et avoue que l’immunité après le vaccin ne pourrait ne durer que quelques mois …

 

… et rejoint ainsi la position de Bill Gates en laissant entendre que le vaccin pourrait même ne pas empêcher la transmission :

 

Astra Zeneca s’est lancé dans la production de deux milliards de doses de son vaccin “Oxford” (pour lequel Bill Gates a investi massivement) malgré la preuve que dessinges vaccinés peuvent encore transmettre le COVID. Paul Offit a déclaré à CBS que le vaccin peut ne pas stopper la transmission ; il peut seulement affaiblir les symptômes, sans pour autant être en mesure de les prévenir.

 

Marks a avoué qu’un vaccin avec une efficacité de 50% ne stoppera pas le virus. “Nous allons avoir besoin d’un vaccin dont l’efficacité avoisine les 70% et au moins 70% de la population devra se faire vacciner”.

Marks a justifié la volonté de la FDA d’autoriser ces vaccins avec une efficacité déplorable de 30 à 50 % en prétextant des problématiques industrielles. “Pouvons-nous vous fournir des calculs qui montrent comment nous en sommes arrivés à ces conclusions ? Non,”a-t-il avoué.Et d’ajouter, avec ce chiffre largement inférieur à 50% d’efficacité, nous devons nous ranger derrière l’évidence que le vaccin aura de très faibles résultats…. D’un autre coté, si nous souhaitions atteindre une efficaicité de l’ordre de 70 et 80 %… nous n’aurons peut-être pas de vaccin avant l’arrivée naturelle de l’immunité collective”.

La crainte que le virus sauvage ne disparaisse naturellement avant qu’un vaccin ne soit prêt pour les essais sur l’homme a incité la FDA à laisser de coté sa traditionnelle aversion pour des “tests de provocation” dans lesquels les sociétés pharmaceutiques exposent délibérément les humains à des virus sauvages. La FDA a publié de nouveaux protocoles pour des “modèles controlés d’infection humaine ” dans lesquels les entreprises pharmaceutiques exposent intentionnellement des volontaires vaccinés à un agent pathogène. La FDA affirme que de tels essais pourraient s’avérer nécessaires si le COVID disparaissait jusqu’au point qu'”il ne soit plus possible de démontrer l’efficacité du vaccin par des études cliniques utilisant des critères d’efficacité aboutissur la maladie.” Quand la presse va-t-elle enfin dénoncer la fraude de ces charlatans ?

 

 

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